Sujet: Le Prince Januarius Tristevent le Conquérant. Ven 16 Mai - 20:32
Important: Ceci est le double/triple compte de Dalk. Il remplacera le compte de Sparthakuus (qui lui sera "archivé" et utiliser comme MJ ou autres par le Staff.) au moment propice.
Présentation.
♠ Votre Personnage.
♠ Nom, Prénom : Januarius Tristevent ♠ Âge :La trentaine ♠ Race :Impérial ♠ Lieu de naissance :Cyrodiil, la Cité Impériale ♠ Orientation psychologique : Plutôt bonne, même si pour lui seul l'honneur de la dynastie Tristevent compte. Il est proche de la Trinité Daedrique sans pour autant être un "adepte" de la croyance des Daedras. ♠ Orientation de rôle, carrière... : Prince de l'Empire de Cyrodiil, Demi-Frère de Dalk et seigneur de guerre ♠ Signe astrologique ou Pierre gardienne :Guerrier ♠ Élément de votre magie :Il ne maîtrise pas la magie
♠ Description physique :
Mesurant dans les 1 mètre quatre vingt, Januarius est un bel homme : la peau naturellement pâle mais hâlé par le soleil de Cyrodiil, douce au touché mais laissant sentir d'anciennes blessures s'étant cicatrisées. Son visage est allongé, aux traits fins et aux yeux d'un vert bronze envoûtant. Il esquisse le plus souvent un sourire mâtois prouvant sa malice (trait de caractère très sûrement hérité de son père, l'Empereur) mais aussi son arrogance inégalable. Comme beaucoup d'hommes de son âge, il n'a pas le temps de se raser chaque jours et se retrouve donc très souvent avec une légère barbe de "trois jours". Les cheveux mis longs et blonds à la limite du doré, c'est d'ailleurs "étrangement" le seul des fils "légitimes" de l'Empereur à posséder des cheveux blonds et des yeux verts, prouvant qu'il n'est en réalité pas issu du couple impériale actuelle. Januarius manie l'épée avec une extrême habilité, il porte en permanance sa lame forgée à l'aide de flammes de dragon. Elle semble avoir été baptisé en lettre d'or dans le langage draconnique, "Kroniid" signifiant "Conquérant", une épée à l'image de son possesseur. De sa démarche assurée, le Prince de Cyrodiil porte le plus souvent une armure blanche et dorée, reflétant toute sa gloire sur le champ de bataille, ne craignant pas de se rendre plus visible.
♠ Description psychologique :
Fier, impétueux, arrogant mais également ambitieux et stratège, le Prince Januarius Tristevent ne connait guère ce que les autres appels ''défaite'', et lorsqu'il l'a connu par le passé, il a toujours trouvé un prétexte pour contredire cette idée. Effectivement, c'est un mauvais perdant. Doté d'un caractère à la fois engagé voir impulsif et calme et stratége, jouant sur les émotions de ses adversaires. D'un point de vue relationnel, il aborde avec son père, l'Empereur Martin Tristevent, une relation stable et respectueuse, mais ne le porte pas totalement dans son coeur pour plusieurs raisons (dont le faîtes que l'Empereur lui a caché le faîte qu'en réalité, il ne serait jamais l'héritier du trône de l'Empire même si officiellement c'est le cas, mais Martin est un vicieux et à tout élaborer.) . Il possède une relation amical avec le comte de Kvatch, Gilles Mont-Gris, contre lequel il a déjà combattu dans un duel non-mortel. Januarius possède aussi un puissant allié en Bordeciel, le Régent Aquilus Cesarii qu'il considère comme un membre de la famille. Les Cesarii ayant toujours été des vassaux des Tristevent. Le Prince est surtout un homme d'arme, la politique ne l'intéresse guère, très problèmatique pour un successeur de l'Empereur, quoique ? Il n'apprécie pas spécialement ses autres "frères" (même si techniquement, ils ne sont pas ses frères mais ses "demi-frères".) sauf un, qu'il connu très tard et seulement depuis peu: Dalk. L'un de ses seuls demi-frères n'étant pas considérer comme légitime aux yeux de l'Empereur et avec qui il entretient une relation basée sur l'ambition. Car, effectivement, les deux hommes sont ambitieux. L'un cherche le pouvoir Impériale, l'autre (et donc Januarius) cherche la gloire militaire et le prestige d'un seigneur de guerre. Le plus étrange est que, l'un cherche ce que possède l'autre, une situation très négociable et où une alliance n'est jamais une mauvaise décision. Meneur né, ses hommes le suivent avec enthousiasme et il sait se concilier leur loyauté. Il ne se sent, d'ailleurs, pleinement vivant que lorsqu'il combat et frôle la mort. Il n'est absolument pas dévot et ne croit guère en l'existence de dieux quels qu'ils soient. Ce qui est rare pour un prince de l'Empire.
Moqueur et provocateur, il ne se soucie guère des autres et de ce qu'ils pensent de lui. Néanmoins, il possède un sens de l'humour hors du commun, surtout en ce qui concerne l'humour noir dont il est un véritable maître. Il aime discuter de batailles et autres évènements militaires, profitant toujours de l'occasion pour gonfler sa fierté et son arrogance, étalant, sans le moindre signe de modestie, ses exploits guerriers, qu'il aime "compléter" à sa manière. Après tout ? Toutes les belles histoires méritent d'être enjoliver...
♠ Histoire, passé :
Prenez garde ! ces lignes porteront en elles les plus lourds secrets de la Dynastie Impériale Tristevent.
"Au fil des années, j'ai observé notre Empire, où ce qu'il en reste. J'ai étudié, progressé et puis tué entre ses frontières et même au delà. Et avec le temps, moi et ma famille l'avons dompté, façonné. Nulle part sur cette terre, je n'ai rencontré un homme digne d'être à mon égal. Les Tristevent ont toujours été suffisamment rusés pour défier la mort du regard des hommes invincibles capables de conquérir, à nouveau, Tamriel. Nous sommes les Tristevent, tomber nous est permis, nous relever nous est imposer. Ceci est dans notre sang, le peu de fois que nous échouons, nous nous relevons et faisons face à nos adversaires pour engager l'ultime duel, dont l'issue est pour la famille arborant le Taureau de Sang, une victoire incontestable." Extrait du journal de Januarius Tristevent, Prince de l'Empire de Cyrodiil.
Une naissance dans le mensonge.
Januarius naquit de l'union d'une des nombreuses maîtresses du redoutable Empereur de Cyrodiil. Néanmoins, à cette époque, Martin Tristevent pensait que l'Impératrice Valia ne savait guère lui procurer d'héritiers, ne voulant pas salir son nom (elle était après tout une haute dignitaire des royaumes du nord, assurant ainsi le symbole de la nouvelle alliance économique qui liait Cyrodiil et Bordeciel.), il fit croire au peuple qu'il s'agissait de l'enfant issu des entrailles de l'Impératrice. On trancha la langue à la véritable mère, pour ainsi éviter que la vérité se répande, sans pour autant la tuer pour qu'ainsi le cupide Tristevent puisse à nouveau s'amuser sur la jeune femme, désormais privée de la parole.
La maîtresse n'engendra qu'un seul enfant qui resta en vie, les autres qu'elles auraient pu avoir furent tuer, comme la majorité des bâtards de l'Empereur sauf quelques-un dont Martin avait accordé sa clémence par simple et pur arrogance. Cependant, dans ce cas-là, il s'agissait bel et bien d'une stratégie politique...
Les Impériaux se réjouirent à l'idée que l'Empereur avait enfin un successeur sur le trône de la Tour de l'Or Blanc.
Une jeunesse peu chaleureuse.
L'Empereur ne passait que très peu de temps avec son fils unique, Januarius connu le plus souvent les temps "d'éducation" auprès de précurseurs aussi sévère les-uns que les autres. Ils lui apprirent l'art de la noblesse, l'entraînèrent à s'exprimer comme un prince digne de ce nom. Néanmoins, l'enfant était connu pour sa passion "guerrière", préférant perfectionner sa maîtrise des armes. Son arme de prédilection ? L'Epée, bien qu'à l'époque, elle fut encore en bois. Il l'a gardait précieusement, s'amusant à combattre les autres enfants de la cour impériale. Mais, lorsqu'il passa huit hiver de sa vie, il eu la douloureuse nouvelle, qu'il ne serait plus le seul sur la liste des héritiers, bien qu'à l'époque, ce n'était pas ce qui le préoccupait le plus.
En effet, l'Impératrice Valia, n'était, à la grande surprise de Martin, pas stérile et pouvait donc remplir son devoir d'épouse, c'est à dire, d'offrir à l'Empereur de beaux enfants mâles qui lui succèderont. Elle eu deux fils, Caïus et Silius.
Les trois "frères" se disputaient assez souvent surtout que Januarius, qui avait malgré tout gardé son titre de successeur pour ne pas éveiller de soupçons, était clairement moins aimés que les deux autres. Ce qui métamorphosa l'esprit du Prince d'une manière individualiste, le rendant plus indépendant face à son père. Il essayait tant bien que mal de se rapprocher de son paternel en vain. Au fil des années, le fils s'interrogeait de plus en plus sur cette "froideur" entre Martin et lui. Mais...il ne pouvait deviner qu'enfaîte, il n'était qu'un bâtard aux yeux de l'Empereur, même si celui-ci tentait de ne pas le montrer par simple manoeuvre politique.
L'avènement du conquérant.
Alors agés d'une vingtaine d'années, le Prince avait déjà prouvé à plusieurs reprises qu'il était un seigneur de guerre incomparable, autant en ce qui concernait le commandement que sa propre maîtrise face à ses adversaires. Alors, qu'une guerre titanesque provoqué par le Domaine Aldmeri qui menaçait les peuples libres, les côtes de Cyrodiil furent menacés par la puissante armada du Thalmor. C'est à Anvil que le Prince se distingua. Commandant les forces locales et bien-sûr, plusieurs légions impériales, Januarius était chargé de défendre les côtes. Le Domaine avait préparé l'invasion par la mer, de la ville , d'une manière très organisée. Utilisant davantage la force brute en envoyant des bateaux de débarquements simultanément sur les positions stratégiques de la ville. La coalition Altmer, Bosmer et quelques Khajiits réussirent à prendre le port de la ville, mais furent stopper par les murailles. Le siège dura plus d'un mois. Alors que les vivres se faisaient plus rares et les habitants plus démoralisés, Januarius brandit son épée par-dessus les murailles prouvant à ses hommes et aux Thalmors qu'il ne craignait pas la mort. Il entama un discours que l'on pourrait classé d'héroïque et rassembla ses hommes pour engager une percée qui s'avéra redoutable. Le Thalmor fut complètement submerger, tellement la volonté des Impériaux à l'emporter était grande, Januarius guida ses hommes à travers les hordes elfiques, massacrant tout ceux lui barrant la route. A la fin, il s'en sortit, certes blessé au bras, mais vivant.
Cette première grande bataille n'était que l'un de ses nombreux actes de guerre, la véritable raison de ce surnom "Le Conquérant" lui fit octroyer lorsqu'il reprit d'une rapidité sans égale, les anciennes provinces impériales au nord d'Elsweyr. Januarius se rendit aussi en Bordeciel, à la rencontre de la plus haute autorité impériale des terres du nord, le Régent Aquilus Cesarii. Il découvrit en cet homme une certaine admiration, ce qui reforgea des liens forts entre le Régent et la famille Tristevent.
Il découvrit lors de l'une de ses pérégrinations, une épée très ancienne forgée par les flammes d'un dragon et dont on avait inscrit en lettres d'or: "Kroniid", le conquérant. Une épée à l'image de son nouveau propriétaire...
Une vie au sein de la Tour de l'Or Blanc.
Après la guerre, le Prince fut rappelé en Cyrodiil pour exercer ses fonctions d'héritier. Januarius n'était pas un homme politique...il n'appréciait guère cet appel du devoir qu'on lui avait confié. Mais, il n'avait pas d'autre choix que d'obéir...et il fallait l'avouer, même si il aimait guerroyer dans les contrées les plus mystérieuses de Tamriel, il préférait la chaleur du soleil de Cyrodiil, la beauté de la Cité Impériale, la culture cyrodilienne...il aimait sa patrie, mais n'appréciait guère ce qu'il devait y faire là-bas. Il avait beaucoup regretté la guerre, où il avait une dose suffisante de prestige jusqu'à la fin de son existence, voir au dela, mais cela ne lui suffisait pas. Il voulait entrer le nom de Januarius Tristevent au sommet du panthéon impériale, voir même, surpasser Tiber Septim alias Talos.
Il apprit en 5E 500, la mort d'Edvard Stalion, dont il a toujours ressentit une certaine "rivalité", l'Empereur n'appréciait guère cette riche famille nordique "pompant" l'or qui aurait pu être approrié par les Tristevent. Désormais, hors d'état de nuire, la famille Tristevent s'enrichit davantage, en même temps que le Haut-Roi, Nelgar Sombrage, ce qui renforce davantage la relation entre les deux chefs d'état. Néanmoins, il éprouve aussi une certaine admiration envers le défunt Stalion, car il a, grâce à ses prouesses militaires, stoppé à lui tout seul, une guerre titanesque.
La même année, la Cité Impériale reçu un chef des armées portant le nom de Sparthakuus. Bien-sûr, Januarius avait gardé un oeil sur le déroulement de la cérémonie. Il n'avait pas spécialement confiance en ses hommes-lézards, mais pour lui, cette probable guerre contre Morrowind serait peut être un moyen de reprendre l'ancienne province impériale, devenue indépendante suite à l'éruption du Mont-Ecarlate. Morrowind était pauvre, mais l'Empire avait besoin d'esclaves pour renaître de ses cendres. Et bon, cela pourrait aussi servir de tête de pont, pour reprendre Bordeciel...Même si pour le moment, le royaume nordique servait bien mieux les intérrêts de l'Empire en étant indépendante.
Il apprendra, plus tard, de la bouche de l'un de ses frères "bâtards", qu'il n'est en réalité pas un enfant légitime de l'Empereur et qu'il ne pourra donc pas accéder au trône. Cet étrange demi-frère sortit de l'ombre n'est autre que Dalk, le Champion de la Trinité. Pour Januarius, cette guerre "religieuse" n'avait pas d'importance. En réalité, c'était son ambition qui le guidait dans son choix à soutenir Dalk et il savait que tôt ou tard, son père, l'Empereur Martin Tristevent II, serait renverser par tel ou tel grande puissance. Januarius préférait qu'un Tristevent s'installe sur le trône, quitte à trahir son père. La famille passait avant tout...l'héritage de la famille. Il ne voulait pas qu'on se souvienne du règne de la dynastie Tristevent comme une ère de corruption, d'orgie et de cruauté. Non. Il voulait que la famille Tristevent incarne, la gloire. De Partus Tristevent Le Pieux ayant rétablit le culte de Talos jusqu'à l'avènement d'Attrebus "Dalk" Tristevent, le réformateur du Nirn, l'Empereur Noir, instaurant un nouvel ordre pour les mortels de telle façon à créer un monde nouveau, lui voulait être l'un des architectes de ce nouveau monde. Il voulait que le Taureau de Sang place sa marque dans toute l'Histoire de Tamriel, non pas par la politique, mais par la force...
Armoiries de la famille Tristevent: Sous un fond royal et majestueux, symbole de la toute puissance de la famille, se trouve un taureau écarlate, démontrant la force et la farouche volonté de cette grande maison, à ses cotés, six rectangles rouges et or, représentant la richesse et la luxure impérialiste. Cependant, depuis l'ascension du premier Empereur Tristevent, cet emblème est moins utilisé remplacé par le célèbre Dragon Impériale. (Cependant, certaines légions portent encore la bannière du taureau Tristevent appelé plus souvent "Taureau de Sang" en raison de la couleur de celui-ci.)
♠ Vous. ♠ Petite présentation. Double/triple compte de Dalk, le fondateur. ♠ Votre expérience rp :Voir fiche de Dalk. ♠ Comment avez-vous découvert le forum ? :Je suis le fondateur.