- Les Alliances - Terminé.

Arès n'avait d'attention que pour les flammes alors que l'homme de Hauteroche parlait des grandes menaces qui pesaient sur Tamriel. Celles-ci, ardentes et rougeoyantes rappelaient à Arès, la terrible nuit du massacre... où, d’innombrables individus perdirent la vie au nom de leitmotiv qu'est la vengeance.
La saint envoyé rappelait sans cesse ô combien l'Empire était rongé par le mal... Si tel était la grande conclusion du débat, encore fallait-il couper le doigt à l'Empire afin d'éviter propagation de la gangrène .



Gaëlyr se leva, et se dirigea vers les baie-vitrées donnant sur le balcon, Arès, avait sentit ces déplacements bien qu'il ne les ai vu. Puis, l'individu reprit, d'un ton beaucoup plus sérieux. Abordant un sujet, des plus... surprenant. Il parla d'armée à disposition du Lion d'Or, de l’avènement des Divins dans ce qui allait s'annoncer comme étant une guerre sans retour. Impliqué directement dans les propos, Arès portait d'autant plus attention aux dires... Puis, une fois que Gaëlyr en eut finit, Arès, rétorqua d'une voix vives, sereine...

- Il y a des guerres que l'on gagne à l'épée, et d'autre au fil de la plume...

Puis, croisant les mains dans son dos, il fit demi-tour, quittant du regard le feu, se dirigeant vers le fauteuil où il était assit auparavant. Il reprit la parole, d'un air encore plus sûr, reposé, mais toujours tenace:

- Vous juger ? Il esquissa un léger sourire Mais que croyez-vous... Dans les affaires telles que les miennes, je ne peux me permettre de juger par les première apparences. Je n'ai que faire de ce que l'on peut raconter sur vous. Illuminé, Prophète, Fanatique... J'ai accès à tous ce dont j'ai besoin, tout ce que je veux dit-il en prenant ses aises dans le fauteuil. Je ne marcherai pas à la tête d'un groupuscule ayant pour seul credo la victoire de divins.

Puis se remettant debout d'un air très marqué et distinctif. le Seigneur Stalion avança à un rythme régulier jusqu'à la porte de sortie de la salle. Se retournant une dernière fois alors en direction de l'invité, il lui fit:

- Les individus se reprochent entre eux de ne jamais savoir où ils se situent. Pour ma part, mes positions et ambitions, sont limpides comme de l'eau de roche. Et vous Gaëlyr d'Hauteroche, saurez-vous vous faire les bon alliés ?

Il s'agissait bien évidemment d'une question rhétorique. Arès s'en alla, laissant Gaëlyr derrière son sillage. L'homme qui pourtant était mal partit lors des festivités du mariage, s'était pourtant bien rattrapé sur cette conversation privée. Bien que pour Gaëlyr, Arès ai put sembler froid, ou autre par le fait de s'en aller de cette manière. Le Lion d'Or avait bien prit en compte tout ce qui avait été dit, analysé, et déduit.


De nouveau, après s'être absenté une bonne quinzaine de minutes, le Seigneur Stalion se redirigea après de ses invités, et de sa femme. Malgré tout, et sur l'heure tardive, la soirée était loin d'être terminée.

Une fois sortit de cette conversation avec le guerrier de de Hauteroche, Arès parcourra les couloirs arpentant le bâtiment afin de rejoindre ses invités. La soirée était longue, mais malgré tout, une bonne partis de ceux qui étaient venu à la fête étaient encore présent. Ironiquement, la vieille femme de la famille Tristevent tenait encore debout, contrairement à bien d'autres hautes personnalités affalées dans leur fauteuil.

Les Tristevent s'étaient regroupés entre eux, et il semblerait qu'Eridia s'y soit fait une place. En effet, elle discutait en compagnie de Prince et du seigneur Tynarius. Alors qu'Arès descendait les escaliers de pierre en colimaçon qui menaient à la salle où se trouvaient les invités, les regards se dirigèrent en direction du Seigneur Stalion, l'homme avait été absent plus d'une dizaine de minutes, assez pour que la totalité ai remarqué cette absence.
Puis, ils retrouvèrent leurs occupations... Beaucoup discutaient entre eux, les ennemis politiques oubliaient quelque peu leur indifférences. Certains hommes charmaient les femmes, d'autres plaisantaient entre eux. La bonne ambiance régnait.
Sans plus attendre, le Lion d'or se  dirigea vers sa femme, qui, celle-ci à la vue de son mari, lui prit le bras, pour le joindre au siens .

-Vous en avez mit du temps mon Seigneur, vous avez faillit faire partir nos invités dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

Arès sourit à a se femme, puis se concentra sur les deux hommes Tristevent en face de lui. Tous les invités étaient occupés à se parler entre eux, Arès engagea-donc la conversation, certain de ne point être entendu si ce n'est pas sa femme et les Tristevent.

- Bien. Tout est prêt... Cette soirée se promet d'être, Historique. Comme prévu, moi même et ma gente femme allons nous retirer. Rejoignez l'endroit que le passeur vous a indiqué en début de soirée.

Puis le couple se retira du groupe de discussion discrètement et s'avança sur l'estrade afin de parler aux invités.

- Nous allons nous retirer de cette soirée. Nous vous remercions, tous, pour cette événement mémorable que vous aurez tous sut faire vivre. Appréciez votre soirée, profitez.

Et c'est ainsi, sur ces paroles-ci que le couple se retira dans la partir du château où se trouvait les grands quartiers.
Avançant dans les couloirs Eridia fit à Arès:

- Je me suis arrangée avec vos gardes pour qu'il y ai sécurité, et protection. Ce qui naîtra dans cette salle, restera dans cette salle.

Arès acquiesça d'un geste de tête, puis, partit pour le lieu de rencontre. Il marchait à une allure régulière, le bruit des dures semelles de ses bottes retentissaient et faisaient écho dans le couloir. C'est en arrivant à l'intersection entre deux couloirs que deux gardes de l'armée privée du Lion d'Or le rejoignit.

Spoiler:

Deux hommes vêtus d'une armure rouge et noire, délimitée par des dorures, des épaulières arborant le lion, et une grande cape rouge pourpre, c'était des soldats privés, loyaux, forts, entraînés, et redoutables, des chevaliers ayant reçut une éducation militaire, initié aux arts du combat.

C'est après un certain temps de marche, qu'ils arrivèrent devant la salle où allait se tenir la réunion, les murs étaient épais, la porte de même, pas de vitres ou autres, tous les son de la salle étaient inaudibles pour les personnes se trouvant à l'extérieur.

- Messieurs,  vous connaissez les personnes qui doivent rentrer et celles qui ne le doivent pas. Agissez en conséquence...

C'est sur ces mot qu'Arès entra fermant derrière lui, l'épaisse porte de bois noir, ornée de bas relief nordiques.



Arès attendait de pied ferme cette réunion, il s'était installé en bout de table et avait disposé des fauteuils à sa gauche. Obstiné par son image et ce qu'il pouvait imposer en vue de sa stature, le Seigneur Stalion attendait, droit, imposant, debout à côté de son fauteuil, ses invités spéciaux, qui, ne mirent pas longtemps à arriver... Car la porte s'ouvrit,  laissant à la vue, les Tristevent...

C'était devant cette table... table sur laquelle reposaient papier encre et plumes qu'allait se décider le sort de bien de vies. Et du destins de deux grands peuples et nations. Une table qui pour une soirée, était table d'échec sur laquelle se jouait la partie pour Tamriel. Les pions étaient tout bonnement les noms des plus grands dirigeants politiques actuels , ceux qui avaient participé à la soirée. Mais il n'y avait que deux joueur à ce jeu, Stalion et Tristevent.

Le Prince Januarius appréciait sans doute le vin Nordique mit à disposition, ainsi que la coupe de fruit, aussi appétissante puisse-t-elle paraître. Il était assez fascinant de voir à quel point les personnalités était variables chez les Tristevent, un Prince jeune, avec l'envie d'en découdre, impulsif, mais prenant assez de recul pour voir le danger où il se trouve. Et un oncle, posé, prompt, détendu, cordial... En effet, deux personnalités très différentes. Arès en engageant cette rencontre était conscient du statut de l'Empire...

Puissance décadente dirigée par un Empereur propre à servir ses propres intérêts, une classe politique corrompue et infiltrée par les fanatiques pro-daedriques... Au final, il n'y avait que très peu de bon en cet Empire atteint par la gangrène. Seulement, il avait quand même un potentiel. Les Tristevent, la famille impérial s'étant enrichit sur le poste même d'Empereur. Tous n'étaient pas cause perdu, comme l'Empereur lui même. Et les deux membres de la famille impériale à qui Arès discutait en cette soirée étaient bien les symboles fort d'un Empire se ressaisissant.

Assit sur son fauteuil en bout de table, Arès buvait dans sa coupe en or son vin. Un breuvage délicieux. Qui faisait frétiller les papilles gustatives. Il n'y avait rien de plus appréciable dans ce genre de réunion qu'un bon vin pour savourer le moment. Le Lion d'Or écoutait attentivement le discours que faisait Tynarius Tristevent, un discours, de remerciements, mais aussi de promesses, mais aussi d'avant-gardes, car en-effet, à peine croisais-t-il l'individu qu'on le lui en parlait déjà. Gaelyr, ce nom revenait sans cesse et effrayait. Puis, vint le moment où un autre nom resurgit, qui laissa le Seigneur Stalion dubitatif. Dalk... un personnage du passé, un personnage qui aurait mérité la mort mais à qui Arès eut la bonté d'âme de le laisser en vie. On le pointait du doigt comme étant un être maléfique, serviteur des ombres et de la trinité Daedrique. Ce Dalk était décidément passé de bandit de bas-étage à un travail bien plus haut-placé.

Là où les Grands Esprits se rejoignent, c'était sur la privatisation de la religion, et la séparer de l'Etat. Car en effet, ceci était comprit dans les ambitions de Tynarius, mais aussi celles d'Arès, qui pour l'instant, n'avait pas prononcé un traître mot, laissant les Tristevent dire ce qu'ils avaient à dire.
Puis, le prince interrompit son oncle, reprenant la suite de son développement, mais en allant droit au but, mais pas forcément de manière très adéquat à la situation. Mais ce n'était pas pour déplaire à Arès, il appréciait ce genre de personnage impulsif, prêt à agir, au lieu de débattre sans cesse et en finissant pas une conclusion telle que l'inaction.

Mais... le Prince alla plus loin dans ses envies, il délibéra son envie meurtrière d'en découdre avec cet homme d'Hauteroche, qui pourtant, ne reflétait pas le réel ennemi dont parlait Januarius. Puis, vint le tour de Tynarius, de détruire, et enfoncer encore plus l'image de ce Gaëlyr . Arès, pour la première fois intervint pour imposer son idée sur ce sujet.

- Tout d'abord, merci à vous deux pour vos résolution d'Alliance. Nous sommes ici, vous n'êtes pas sans le savoir, au delà du fait que nous représentons des nations. Nous représentons surtout nos maisons. Stalion et Tristevent vont s'unir. Nous ne sommes pas sans savoir que le but ultime est le règne. Nous devons être limpides entre nous. Premièrement, vos ennemis sont plus proche de vous que vous ne vous efforcez à le croire. Vous n'êtes pas aveugle, c'est certain. Il vous faudra réformer les groupuscules politiques qui dirigent votre Empire. C'est le cadet de vos soucis. Pour ce qui est de votre Empereur... Je crains que cette affaire ne touche que votre famille. Mais vous saurez y remédier. J'en suis... catégoriquement certain. Et enfin, venons-s'en à ce Gaëlyr. C'est bien évidemment le genre de personnes qui e nous combattrons, mais uniquement s'il intervient dans les affaires de Bordeciel sans le consentement du Haut-Roi, et je pense, que vous ferez de même. Il n'a donc que d'influence par la plume, son terrain d'activité reste Hauteroche, mais vue que là-bas, ils ont décider de rallier l'Ordre à l'Etat, il y aura des sanction contre leur gouvernement s'il s'investissent dans les affaires étrangères de l'Alliance entre l'Empire de Cyrodiil, et de la Monarchie de Bordeciel.

Puis, buvant à nouveau une gorgée de vin il reprit:

- Vous verrez. Hauteroche n'est unis. Elle est divisée en duchés, il y a des rois, des ducs. Tous fier de leur indépendance par rapport aux autres. Quand nous mettrons notre noir sur blanc que les Stalion et les Tristevent sont alliés, alors ils commenceront à comprendre l'ampleur de la situation.

Les choses se passent ainsi. Tamriel n'est pas un seul bloque, c'est une multitudes de nations qui, ont leur limites et leur tempéraments. Des guerres s’enclenchent pour bien moins que la religion, mais celle-ci est bel et bien un facteur de guerre, un sujet pouvant apporter a haine et la distanciation entre les peuples. Cette réunion allait signer un accord irrévocable du maintient de la paix par TOUS les moyens, y comprit par l'entrée en guerre si nécessaire. Répressions, réformes politiques. Liens commerciaux montés entre Bordeciel et l'Empire et surtout. L'avènement des deux Maisons, les Lions et les Taureau.

Les informations tombèrent,  et Tynarius répondit en conséquence. Il reconnut les grands défauts de l'Empire, et se promit de régler ces êtres perfides qui jouaient les marionnettistes dans la hiérarchie Impériale, puis il se tourna vers son neveu, le Prince, dont il chargea des tâches militaires.
La question du côté Nordique ne se posait pas. Il était censé y avoir un conseil de Ministres, chacun chargés d'une tâche précisément. Mais depuis la dernière grande Guerre, ce conseil fut réformé par le Haut-Roi Nelgar Sombrage qui, détruisit l'assemblée des Ministres, et le remplaça par un poste qui serait occupé par une personne seulement. Le grande en question porte le nom de Main du Roi, ce titre confère à son porteur absolument tous les droits que puisse avoir un Roi sur son Royaume, et sur toutes les relations qu'il peut avoir, mais il remplace aussi en intégralité les postes de Ministres. Soit, le titre de Main du Roi est attribués aux personnes les plus qualifier pour régner.
Arès avait apprit officieusement dans la bouche lui même du Roi, que lui-même, avait été choisit et voulut par Nelgar Sombrage, pour endurer ce titre et ce qu'il engendre.


Le débat se retourna une fois de plus auprès de Hauteroche. Le Prince évoqua que contrairement à ce que l'on avait put penser de ce Royaume, qu'il avait retrouvé l'Unité. Mais comme le rappelait si bien Tynarius à son neveu, et l'exposant même à Arès, les nations naissantes sont souvent faibles et dures à gérer dans le sens où elles se découvrent elles-même en s'unissant. Les frontières internes sont alors brisés, les relations revues. Ce qui en effet, pouvait servir en cas d'extrême nécessité.

Suite à ceci, l'oncle du Prince prit une grande inspiration, puis, il commença à aborder le sujet qui lui tenait à cœur, et dont Arès se doutait du le teneur de celui-ci.
Tynarius commença, exprimant son envie de joindre les familles Stalion et Tristevent, afin de faire atteindre des hauts à ces deux Maisons. Il proposa de marier son neveu, Januarius à, une possible damoiselle de la maison Stalion, unir, une bonne fois pour toute, par les sang les deux maisons.

Contre toute attente, Arès croyant que ce sujet avait déjà put être arbordé par les Tristevent, il fut surprit de la réaction du Prince, qui monta d'un degrés d'énervement, visiblement pas informé par les ambitions de son oncle. Januarius se souleva contre les décision de son père, mais après coup, Tynarius reprit par des phrases ayant pour but de calmer le Prince. Il n'y alla pas sans blesser. Il parlait franchement, sur un ton impératif.
Arès regardait la scène se déroulant sous ses yeux, sans rien dire, et le regard profond plongé sur Januarius qui visiblement, s'était calmé.
Le Prince s'excusa, son oncle semblait soulagé, mais Januarius n’oublierait pas ce coup porté par son oncle à son encontre. Arès répondit pour soulager les deux individus Tristevent:

- Nous serons d'accord pour nous dire qu'il ne s'est rien passé de tel dans cette réunion.

Puis, tout en se remettant droit dans son fauteuil, bras droit sur la table et le gauche sur l'accoudoir de celui-ci, Arès, oublia ce qu'il avait vu et entendu de cette petite dispute familiale    et reprit là où en avait finit le Tristevent.

- L'Union de nos deux familles par le mariage était, inévitable. Je le crains pour votre neveu. Nous avons en effet un membre chez les Lions qui pourrait, convenir à cette union de famille...
Elianna Stalion, fille de mon cousin par le sang, c'est une femme digne de notre famille et qui nous fait honneur. Pour vous rassurer, Prince Januarius  dit-il avec un sourire sombre au coin des lèvres elle est élégante, belle... puis, détournant le regard de Januarius pour le poser sur Tynarius, mais, ne vous attendez pas à ce qu'elle soit docile, cette une femme forte au tempérament de Lion, elle n'est pas malléable et à le sens de la famille. J'espère que, ce trait de caractère ne vous déplaira pas....

Arès se leva pour aller chercher son sceaux, de la cire, un cachet, puis un parchemin. La plume et l'encre étaient déjà sur la table. Le Lion d'Or attendait la réaction principalement de Januarius, concernant cette proposition.

Les Tristevent étaient donc prêt. Les Stalion aussi, bien que, seul la tête de la maison soit au courant pour le moment. Januarius s'inscrivait en tête qu'il ne pouvait y avoir d’échappatoire, il prit donc l'ultime résolution d'accepter les conditions imposées par son oncle.
Arès approuva par signe de tête la proposition du Prince, séjourner en Bordeciel pour faire plus ample connaissance avec la femme avec laquelle il allait passer une bonne partie de sa vie.

Les relations entre Tynarius et le Prince étaient assez amusante à voir. L'Oncle était très protecteur, et le Prince très... disons qu'il se voulait indépendant de tutelle familiale ou de protection ordonnée par son oncle. Après tout, il était homme d'arme, et comme il venait de le dire, il y avait en effet les gardes de Vendeaume pour assurer la protection de contingents étrangers.

Arès avait rédigé et promulgué ce que cette Alliance engendrait comme devoir et responsabilités pour les têtes pensantes du l'Union. partenariat économique, appuis militaire, réformes sociales et territoriales. Tout avait été pensé... Puis, le Seigneur Stalion se tourna vers Tynarius, et lui fit:

- Nous devons doubler nos liens commerciaux avec Elsweyr, j'en ferai une priorité. Je pense que nous avons beaucoup à gagner avec ce peuple et son gouvernement. Ils ne sauraient refuser notre offre. Sans compter que ma Maison a déjà quelques solides liens... Quand ils verront la demande....



Alors qu'Arès finissait d'écrire sur le parchemin, il le fit passer à Januarius qui rappela les règles du protocoles, stipulant que le teneur de réunion scellait à la toute fin la lettre. Puis, il marqua le parchemin du sceaux de sa famille, le Taureau, ainsi, il redirigea la lettre vers le Seigneur Stalion qui saisit condamna en versant une touche de cire brûlant, dans laquelle il encra le sceaux du Lion. Puis, tenant la lettre en main, Arès fixa d'un regard profond ses deux congénères et leur fit:

- L'avenir de notre Union va se déterminer dans les mois à venir. Nous pouvons créer une Alliance qui dureras des années et des années. Ou disparaître... Nous devons régner, et nous devons le faire... Pas l'année prochaine, pas demain... Maintenant.

Arès prit le parchemin, et le brandit en le pointant vers les deux Tristevent.

- Nous venons de signer le traité d'Estermarch. Maintenant, travaillons, et œuvrons pour la lumière. Il est grand temps de sortir de cette phrase obscure dans laquelle nous sombrons. Nous avons tous la chance icid-être nés dans les deux plus riches et puissantes familles de Tamriel. L'heure n'est odnc pas à se demander de qui du Taureau ou du Lion l'emportera sur qui, mais de savoir comment le Taureau et le Lion vont régner.


Arès se leva de son fauteuil et se tena droit, fixant du regard Januarius.

- Ma nièce était assise aux côtés d'Evan Stalion, elle est actuellement à Vendeaume. Je vais soumettre l'idée à Evan, et en parler à Elianna. Tout ça sera fait rapidement. Attendons-nous à ce que les prochains événements se déroulent des la même manière.