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 Markharth- Purification par le feu. /// Terminé

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Arès Stalion
Le Lion d'Or
Arès Stalion


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MessageSujet: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitimeJeu 1 Mai - 14:48

Peu de temps après les faits d'Estermarch et de la Crypte dédiée à Edvard Stalion, Arès, dernier lion d'or, héritier d'une dynastie ayant perdue la force mais pas son prestige, traverse Bordeciel, voyagent à travers le Royaume pour s'adapter peu à peu à celui-ci. Bordeciel est un Royaume riche, puissant... Mais quelque peu endormit depuis la tragique mort du Seigneur Edvard.
Le Royaume de Nelgar Sombrage avait un potentiel sans limite, sans faille, qui, malgré tout, avait cessé d'être exploité. Les politiciens de cette brillante nation sont des flemmards, des hypocrites et des je m'en foutistes intégrales. Et le Roi... Le Haut-Roi de Bordeciel... Il ne faut pas être dupe pour apercevoir que celui-ci n'était plus le même après le décès, l'assassinat de la Main du Roi...

La destination du moment était Markharth, Arès savait, de part les rumeurs, de part les écrits, que cette ville, était en proie à un conflit entre populations de la Crevasse... Grossièrement, Markharth était un des piliers de Bordeciel, rongé par la crise sociétale. Arès se voulait désormais protecteur de la patrie du Nord, chevalier de Bordeciel, une nouvelle vocation, mais aussi, une manière pour lui de rendre hommage à son père.

***

La ville grouillait de vie, une cité naine, bâtie à même la montagne, un concept architectural propre aux Dwemmer, une oeuvre... Les portes dorées brillaient aux rayons de soleil qui venaient s'engouffrer dans cette ville qui formait une cuvette. Les pierres des constructions étaient à la base grise clair, mais avec le temps, et le carbone des fumées s'échappant des bâtisses, noircissaient....
Le commerce interne à la ville, était fleurissant, les villageois exploitaient les cultures et le bétail en périphérie à la ville. Beaucoup de commerçants venaient proposer des offres et leurs produits, puis, commercer avec les marchands interne à la ville.
Mais... Sous ces allures de ville paisible et tranquille se cache un réalité une cité en fusion, souffrant d'une crise territoriale dû aux groupuscules indigènes de la Crevasse. Ce conflit-ci dure depuis bien plus longtemps qu'on ne pourrait le penser. Une guerre presque sans fin... Entre deux communauté locale. Les groupes civilisés de la cité de Markharth, et les Parjures...
Des hommes presque sauvages, vivant comme des bêtes, s'attaquant aux convois marchands, et pratiquant des rites lugubres autour de ces êtres que l'on nomme Harfreuses... Des femmes ayant des griffes acérées comme celles d'un rapace, et plumée comme un corbeaux, tout en gardant une forme humanoïde.



Ce jour là, le petit calme apparent de la ville fut brisé par un crie de désarroi... des haine, et de souffrance... Il résonna dans la ville et y fit écho, la foule se réunissant autour du point de départ de ce cri...


Dernière édition par Arès Stalion le Lun 26 Mai - 22:53, édité 2 fois
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Arès Stalion
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MessageSujet: Re: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitimeDim 4 Mai - 14:44

Un cri fit écho dans toute la cité.... Les portes de Markharth en ce jour, étaient grandes ouvertes pour la libre circulation des paysans, des mineurs, et des commerçant... Un homme, en larme, criant de souffrance, hurlant à la mort, pleurait la mort de son fille...  Une enfant, peut-être devait être avoir six ou huit ans... En tout cas... Elle était là. Dans les bras de son père désemparé, qui pliait les genoux pour s'effondrer au sol tout en portant sa fille. Celle-ci, n'était pas bien grande, une flèche assez spéciale était plantée dans son torse... La flèche était presque assis grande que ce qui était maintenant le cadavre de cet enfant. Elle était faite de bois de peau et plumes. Typique de ce qui était les démons de la Crevasse, Les Parjures...

En quelques secondes toute une foule vint se joindre au père, ils virent tous regarder, essayant de la consoler, tentant de lui retirer le cadavre de la fille pour s'en occuper... Mais il était là, assit au sol, agrippant fermement le corps sans vie de son enfant... Soudain, dans la foule qui entourait le pauvre homme, c'est un autre cri qui se fit entendre, plus strident, plus vif, et plus féminin. En effet, il s'agissait de la mère qui, venait de réaliser que la victime concernée était en-faite sa fille,  son unique fille....

Une dizaine de garde virent en courant pour dissiper la foule, mais rien y faisait, la foule chuchotait, criait, hurlait au scandale. Peut-être était-ce le meurtre de trop... Pendant ce temps, le chef de la garde ordonna:

FERMEZ LES GRANDES PORTES ! Plus personne ne rentre ni ne sort pour aujourd'hui.

Au même moment, le père alors en larme, hurla de toute ses forces:

NON !!! Attendez !! Il y a un homme qui m'a sauvé la vie et permis de fuir ! Je vous en prie, par piété attendez...

D'un bref signe de tête, le capitaine, certes, bon, dure, autoritaire, mais juste, laissa les portes ouvertes quelques minutes. La population attendait la venue de celui qui s'était fait sauveur du père.


***

Je courais rapidement, une flèche, m'avait été tirée dans mon épaule, une chance que mon armure avait été faite dans la meilleur forge de Bordeciel sous commande... Un métal souple, rigide et résistant à la fois. La grande flèche de ces sauvages étaient venue se planter dans l'armure, et je n'avais guère eu le temps de l'enlever si je voulais survivre. C'est en effet, une troupe de ces sauvage qui m'avait attaqué, alors qu'un père et sa fille me proposaient de l'eau. La flèche parvint se planter dans le torse de la fille de ce pauvre paysan, la puissance du tir lui brisa probablement quelques os, vue qu'il fut assez puissant pour éjecter le cadavres à quelques mètres du point de position initiale. Ils nous avaient chargés... J'en avais exécuté un, le premier qui allait nous atteindre... Et quand ils furent trop nombreux... Je n'eu d'autre choix que les sortilèges de foudre pour les dissuader....

En attendant, je courrais jusqu'au portes de la ville de Markharth, celles-ci étaient grandes et imposantes. Elles étaient entre-ouverte quand j'arrivais, et, sans hésiter, je pénétra dans la cité.

Je vis en entrant, une ville resplendissante, blanche, grise, sombre, et dorée à la fois. Les rayons de soleil venaient s'abattre sur les toits dorés, provoquant d'autres rayons lumineux qui allaient s'échouer partout dans la ville et l'illuminant. Mais... cette belle allure était rompue et détruite par ce qui semblait être, un regroupement de gens apeurés, en colère, et qui visiblement, m'attendaient...
Directement, je fus prit en escorte par deux gardes, et en arrière, j'entendis un homme hurler merci, merci bien triste, celui du père à qui, seul sa vie avait été sauvée...


J'avançais escorté, grimpant les marches de la citadelle, peu à peu, m'approchant de ce qui était l'entre de palais, palais sous la montagne. Ils ouvrirent les portes, et me firent entrer. La salle était sombre, et apparemment, ça n'avait l'air de déranger personne, seules les salles importantes étaient grandement illuminées, et brillantes. Un peu, comme celle où l'on allait me mener.

C'était en effet, une petite salle, les dimensions de celle-ci se jouaient en hauteur, et en longueur. à peine entré dans la salle, il y avait une série de marche pour accéder à un trône situé à peine en hauteur, de manière à surplomber tout ceux qui se mettent face au Jarl de la cité.
Le commandant, qui était un des soldats m'ayant escorté, fit un salut à son jarl, et parla.

Mon Seigneur, la ville pleure, elle souffre... Les parjures, ils ont attaqué une fillette et son père. L'enfant n'a pas survécu, les parents sont effondrés, et la ville est prise de compassion et de colère...

Le Jarl, presque... désintéressé, rétorqua:

Moui, bien, bien... Et, dites moi, qui êtes-vous, vous là, en armure scintillante là ?

Le capitaine fit un pas en avant, un peu choqué par les propos du jarl, mais se secoua la tête et reprit:

Cet homme est...

Il n'eut le temps de répondre qu'il fut interrompu par son supérieur.

Non, ce n'est pas à vous de répondre, mais à cet homme. Je n'ai pas besoin d'un vulgaire ... PIGEON voyageur pour conter mes dires.

Le capitaine hocha la tête, puis, se résignant à laisser passer cet affront.

Je répondis:

Je suis Chevalier mon Seigneur, et me fait défenseur de Bordeciel.


Ah ! Chevalier ! Vous m'en direz tant... Je veux votre prénom, le nom de votre famille. Et qu'est-ce-que vous avez fait pour vous faire mener devant moi par ce capitaine incompétent qui plus est doublé d'un bon à rien.


J'ai été par un citadin de votre cité mon Seigneur, il m'a apporté de l'eau, puis, nous nous sommes fait attaquer par des sauvages, les parjures. Je n'ai pas pu sauver l'enfant, mais l'homme à survécu.

Oui, oui... j'ai cru comprendre qu'il s'était passé tout ça. Mais vous ne répondez toujours pas à la question Chevalier.

Marquant un temps de pause... je m'avança de deux pas, puis, j'enleva mon casque, et je fixa droit le jarl dans les yeux.

Je suis le Seigneur Arès, de la maison Stalion, adoubé Chevalier.

Ah ! J'ai un Lion d'Or sous mon toit, étonnant n'est-ce pas ?! Il y a de cela quelques années, j'ai faillit accueillir votre père à Markharth, il était là avec toute ses réformes.... Il voulait probablement me faire quitter mon trône ou me tuer pour mettre un remplacent loyal à la place... RIEN ! Il ne s'est rien passé. Il est mort entre temps. Et aujourd'hui, je vois que les rumeurs qui circulent à travers Bordeciel sont vrais. Il y a bien un héritier.

Lui aussi marquant de pause pour se frotter les mains et rigoler sèchement, il reprit quelques secondes après

Et de quoi avez-vous hérité de lui Arès Stalion, hein ?!! Dites-moi ? De ses richesses ? Maintenant aux mains de l'Etat de Bordeciel ? De ses forces ? Aussi à l'Etat de Bordeciel, ou bien de sa folie démesurée pour l'Ordre et la Justice, qui n'a bien évidemment appartenu qu'à lui seul....

Je ne répondais rien, je ne baissais pas le regard. Visiblement, il avait l'être autant hostile à la raison qu'un fanatique...

Les Lions d'Or, vous êtes de la pire espèce, votre sens chevaleresque du l'honneur, de l'ordre et de la justice vous tuera tous jusqu'au dernier...
Allez... Allez ! je suis bon Seigneur, je vous laisse un jour pour récupérer de votre voyage. Après, vous vous en irez, sinon, vous serez emprisonné pour je ne sais quelle raison que nous trouverons à justifier si l'on nous pose des questions.



Le capitaine de la garde me rejoignit pour me sortir du palais et me trouver une chambre dans un quelconque hôtel de la ville.

Seigneur Arès Stalion ! Attendez-moi...

Il courra vers moi...

Seigneur Stalion... veuillez me pardonner pour tout ceci.... Le Jarl est la tumeur de la Crevasse, si l'on m'entendait dire ceci... je pourrai être pendue, mais ça n'arrivera pas... Plus des trois quarts de a ville et de ses gardes haïssent le Jarl... comme vous avez pu le voir et le comprendre, c'est un vieil aigri que votre père voulait remplacer, ou comme il l'a dit, exécuté... Mais... milles excuses et condoléances une fois de plus... Edvard est décédé, laissant derrière lui, l'espoir de faire sourire le peuple de Markharth... Mais dites-moi, où vous ont-ils attaqué les Parjures exactement ?

Je m'arrêta de marcher, nous nous trouvions devant les grandes porte pour sortir du palais.

Les sauvages nous ont attaqués devant le pont à côté de fermes de votre ville.

Mais... ils ont jamais attaqué ici... Enfin, je veux dire qu'ils ne sont jamais descendus de leurs grottes campements et montagnes pour venir faire des raids d'aussi près... la situation devient critique !

J'ai pu le comprendre...

Deux gardent ouvrirent les portes, laissant un bruit immense pénétrer le palais. Des cris, des hurlements, une foule en colère, brandissant des fourches, des torches, parmi eux, il y avait même des gardes... Le capitaine me regarda, comprenant que la révolte avait commencé...

Un homme se trouvait devant nous, un homme du peuple, prononçant un discours en haut des escaliers à nos côtés... Il ne nous avait pas encore vue...

Marre !!! MARRE DE CES PARJURES !!! Nous n'attendrons pas plus longtemps !!! Ils nous attaque, et personne ne réplique ! Le jarl envoi aucune troupe, il n'ordonne rien, il se terre dans son palais faisant la sourde oreille à notre souffrance !! AUX ARMES !!!

Puis il regarda derrière, et me vit...

C'est lui !! Regardez !!

Il s'approcha de moi, me prit par le bras et me le leva en l'air me montrant à la foule, qui, celle-ci, applaudissait pour mon aide apportée à ce paysan.

Qui es-tu Chevalier ?

Hésitant, sachant ce que je risquais, je prit la décision cependant de prendre parole.

Je me nomme Arès, de la maison Stalion. ( répondis-je sèchement )

Le peuple réunis ne fit aucun bruit, le silence... on pouvait même écouter le vent... Puis, celui qui se montrait en tête d'escalier avec nous se mit à scander :

LE LION AVEC NOUS !!!

Ils hurlèrent... Tous, ils criant de joie et de fureur alors que j'hochais la tête en signe d'acceptation. Je regardais le capitaine, qui lui, regardait ses troupes qui avaient rejoins le peuple révolté... Je lui fis:

Qu'allez-vous faire ?

Visiblement, la majeur partie de la garde à rejoins les révoltés.... Je vais faire de même, je ne veux pas qu'à leur retour à la ville, ils soient traités de traître par le jarl, je ne veux pas les voir se faire pendre. Il faut que les choses changent, et je crois que... c'est bien la seule manière...

L'Homme du peuple reprit parole:

Les parjures se sont installés partout dans les montagnes ! Mais un des camps les plus proches d'ici selon les légendes se trouve aux pieds de la montagne du temple de la prédilection et des Lames ! Marchons ! Marchons jusque chez eux ! Brûlons-les tous ! Faisons leur passer un message ! La Crevasse nous appartient !!!




Dernière édition par Arès Stalion le Sam 10 Mai - 16:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitimeSam 10 Mai - 16:32

Après ce discours qui n'avait pas manqué de réveiller les esprit révolté du peuple de la Crevasse, tous, se dirigèrent sous les signes du capitaine de la garde, vers le bastion et la réserve des forces armées de Markharth.

Les armures étaient lourdement chargées en armes et morceaux d'armures. En effet, la garde de la ville récupérait absolument tout ce qu'ils trouvaient quand ils arrêtaient voleur, et mercenaire procédant de manière illégale. Certaines armes étaient ridicule, comme certains et certaines armures au passage... Des surins, des couteaux non aiguisés, armure de cuir... Mais certains objets se voulaient plus impressionnant, comme par exemple l'espadon Orismer ainsi que l'armure qui allait avec.

Les soldats qui allaient participer à cette révolte conduisirent le peuple enfiler les bouts d'armure qu'ils pouvaient trouver, et allèrent les armer.

C'est un peuple enragé et enchaîné qu'abritait Markharth, un peuple qui, malgré sa rage, avait sombré dans le silence depuis bien trop longtemps. Il n'est pas étonnent d'observer qu'aujourd'hui, il se délivrait de ses chaînes.

Le peu de gardes restant dans la ville allait s'occuper de la sécurité du Jarl, celui-ci, pas assez fort pour contenir une révolte... Pas assez fort pour proposer des plans visant à mater les parjures et les effrayer.

Gardes et citoyens, s'étaient réunis devant les grandes portes d'entrées de la cité, marchant direction du camp parjure qui avait été désigné.
C'était là environ une centaines d'hommes en comptant les gardes de la cité marchaient direction la vengeance et la ruine.
Une première dans l'histoire de la civilisation de la Crevasse, que des hommes et citoyens de Markharth se soulevaient contre les attaques qu'ils subissaient sans rien dire depuis bien trop longtemps.


J'étais dans la foule, avec eux... Ils étaient tous très concentrés, ils avançaient sans parler, sans crier... Seul le son des pas et des bruits d'armes et d'armures pouvaient être écoutés. Touts, appréhendaient ce qu'ils allaient trouver... Tous, rêvaient de venger leur ancêtres, leu voisins, leur famille qui avaient subit les Parjures. Tout en ce jour, étaient réunis pour annihiler un camps de ces sauvages.

La nuit tombait peu à peu, laissant quelques derniers rayons de soleil orangés éclairer le paysage avant de ne sombrer dans le noir et le chaos. Nous avancions entre les collines et les montagnes, arpentant les petits chemins de pierre...
Plus on avançait, et plus il était certain que les parjures nous écouterait... Mais là n'était la question, car au moment où il s'en apercevront, il sera trop tard... Et nul de ces sauvages ne saurait arrêté la déferlante nommée JUSTICE qui s'abattra sur eux. Des voix se faisaient entendre derrière une grande montagne solitaire, encerclée par d'autres montagnes... de la lumière, de même, semblait de cacher derrière les hauteurs... Nous arrivions...  



Dernière édition par Arès Stalion le Mer 14 Mai - 22:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitimeMer 14 Mai - 22:51

Nous arrivions enfin, des cris, des lueurs et des rires se faisaient entendre de derrière la colline... Le capitaine de la garde de Markharth ordonna à ses suivants première de rester sur leur position et d'attendre les ordres, puis, dans un second temps, de rester discrets.
Celui-ci me fit signe, m'appelant en chuchotant. Nous avancions accroupit dans l'herbe humide, grimpant une bosse qui allait nous offrir un point d'observation imprenable sur ce qui se cachait derrière ce bout de terre....

Nous avancions jusqu'à ce que nos deux visages furent éclairés par ce qui était... la lumière d'un camp, d'une base, d'un village de ces sauvages... Des fabrications en bois reposant au dessus de ruisseaux d'eau, piégés entre les montagnes, et creusés à même celle-ci. C'était donc là un véritablement nid de ces parjures qui s'était encré dans cette cuvette, encerclée de relief rocheux et montagneux.

Ces installations et bâtisses précaires étaient entretenues et survivaient depuis bien des années... Ce camp était connu à la base, sa présence en ces lieux était mentionné dans pas mal de registres de Markharth pour ce qui était de recenser les crimes de la Crevasse et leur provenance.
Les personnes vivant en ces lieux étaient des vieillards, des enfants, des adultes, femmes et hommes. Ce qui devait être des guerriers avaient troqués leur arme pour s'occuper de leurs enfants, ou fabriquer ou autre. C'était une peuple assez sauvage, qui n'avait guère connu l'effet appelé " socialisation ". Ils vivaient tous dans des huttes, faites de peau de bêtes, Smilodon loup, élan... Tout ce qui était à fourrure, ils prenaient. En cette nuit obscure et de néant, retentissait dans ce lieu grouillant de vie des rires d'enfant, mais aussi des cris de femmes, forniquant avec leur maris.... En effet, la pudeur et l'intimité n'était pas un credo chez ces individus-ci. Ils avaient au moins la descendance de le faire dans leur abris personnels, bien que... ils n'étaient nullement à l'abris des regards indiscrets, et par dessus tout... ça n'avait l'air de déranger personne.

Le capitaine me regarde et me fit:

- Alors, c'est ici que se terrent ceux qui martyrisent les citoyens de la Crevasse et de Markharth.... Regardez-les, on les prend pour des tueurs, pour des assassins et des démons... Mais, ce sont des êtres comme nous... Sommes-nous réellement obligé de faire ça ?

Je regarda alors le capitaine d'un mauvais œil et lui fit:

- Perdez pas de vue que ces gens là n'ont pas les même revendication que vous. Ça fait des années que la diplomatie n'a put être instaurée entres les peuples civilisés et les peuples sauvages de la Crevasse, ce n'est pas ce soir que ça commencera. Écraser ou être écrasé... Vous avez le choix. Descendez à leur rencontre, allez-y, rejoignez-les avec votre flamme de compassion qui commence à surgir, il vous décocherons une flèche dans le crâne sans réfléchir.

Le capitaine me regarda, avalant sa salive et comprenant qu'actuellement et dans la position où nous nous trouvions, nous ne pouvions nous permettre de rebrousser chemin, de capituler, ou de trouver un arrangement. Le Fer prix était la solution. Rien de plus, rien de moins.

Quelque chose me faisait légèrement trembler intérieurement... Des légendes, des contes pour faire peur, mais aussi des témoignages, racontaient que les parjures vouaient un culte à des femmes doublés physiquement d'un vautour  prenant le nom d'Harfreuses. Surnommées aussi sorcières, ou harpies, ces êtres étaient des démons répugnants. Vivant à l'extérieur des mondes civilisés, reculés dans des terres oubliés des regards de la modernité. Ces choses étaient presque des déesse pour les parjures. Et c'est ce côté de l'adoration d'abomination qui me répugnait énormément.

Nous rebroussâmes chemin avec l'officier de la garde pour retrouver les gardes et les révoltés de Markharth affin de préparer... L'éradication totale de la population de ces lieux rongés par le mal, la putréfaction, l'oublie et l’obscurantisme.  



Dernière édition par Arès Stalion le Dim 18 Mai - 15:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitimeDim 18 Mai - 15:02

- Quoi que vous voyez, quoi que vous puissiez penser, ne semer pas l'ombre d'un doute dans vos actes. N'oubliez pas pourquoi vous êtes ici, pourquoi vous portez aujourd'hui les armes. N'ayez aucune crainte. Foncez, éliminez-les. Pas de pitié !

C'est sur ces paroles que j'introduisis le début de la rafle, le capitaine de la garde qui se trouvait à mes côtés parlait aux archers, qui, allaient jouer un rôle majeur dans le début de l'attaque. Il soutenait aussi moralement tous les personnes venues ici, les réconfortant, les encourageant.
Avec des torches, les tireur de précision, armés de leurs arc en bois de chêne enflammèrent leur flèches d'acier autour desquels étaient enroulés des chiffons imbibé d'un liquide inflammable.

Tous se tenaient prêt.... Après tout, il en rêvaient de ce moment... Il y avait dans cette masse énervée de soldats et de citoyens de Markharth, des pères de familles, effrayés à l'idée de laisser sortir leurs enfants de la ville à cause de ces attaques de sauvages incessantes. Il y avait des commerçants, sans cesse pillés et exécutés comme des animaux... En ce soir illuminé par la lune et la constellation, ces attaques pouvaient cesser... Une bonne fois pour toute, la Crevasse pouvait faire passer un message ferme. Toutes ces injustices pouvaient s'arrêter une bonne fois pour toute ou empirer...
Il n'y avait pas cent possibilités... Soit cette attaque menait à bien son objectif, les parjures, mit en déroute arrêteraient leur pillages de peur d'une contre-attaque, ils se délocaliseraient et iraient s'installer ailleurs... Ou bien, dans le pire des cas... Cette attaque forcerait les Parjures à attaquer encore plus, à commettre plus d'atrocités, à venger le frères mort durant l'attaque, à reconstruire sur les ruines de leurs construction, et à renaître des cendres de leurs parents.

Les archers se préparaient à tirer, bandant la corde de l'arc et visant légèrement en hauteur pour que les flèches puissent s'abattre sur les constructions de bois.
Une phrase retentit, c'est d'une voix forte et autoritaire, que l'officier cria :

- Archers, TIREZ !

Une pluie de feu, il n'y avait pas d'autre mot... Une pluie de feu vint s'abattre sur le village des sauvages. Des maisons commençaient à brûler, malgré le fait que l'endroit soit humide. Les bâtisses restaient après tout de bois....
Arès Stalion chargea avec tous les hommes pourtant les armes de corps à corps, frappant dans la masse, frappant dans la chaire, tranchant, et découpant tout sauvage qu'ils pouvaient croiser. Ces hommes faisaient preuve d'une furie sans fin.

Les Parjures, désemparés, couraient dans tous les sens, tentant de se cacher, de trouver les armes, de combattre même...
C'était une boucherie sans nom. Jamais ils n'avaient vécu de tel violences de la part des hommes civilisés. Jamais ! jamais les parjures n'auraient pensés subir de telles vagues de répression. Leur village n'avait pas été fait pour subir de tels attaques, leurs défenses étaient inexistantes. La ruine s'abattait sur eux comme une salve de flèches. Il n'y pouvaient rien. L'extinction des Parjures dans cette zone était inévitable... comme si, l'événement était prophétique, ils n'y pouvaient rien, et ne pouvaient échapper à leur funeste destin...


Plus l'attaque avançait, et moins les sauvages étaient nombreux, leur nombre diminuait à vue d’œil. Des cris de douleur se faisaient entendre, le son de l'acier, se fracassant dans le crâne des cibles, le feu, ardent et crépitant. Les bâtisses qui s'effondraient. Rien, plus rien ne pouvait y faire. Ils étaient perdues.


Les citoyens de Markharth avaient essuyés des pertes, une dizaine d'homme étaient tombés.... Alors que les derniers parjures se faisaient capturer ou achever, je montaient les escaliers qui menaient à une hutte, qui était ornée d'os d'animaux, de défenses de cerf.
Rangeant mon épée, et dégainant doucement ma dague pour qu'elle crisse contre le ceinturon de fer afin qu'elle fasse du bruit pour effrayer ceux qui pouvaient se trouver dans cette hutte, j'entra... Arme à la main, prêt à trancher la première chose... Et je vis, un être ignoble au dessus d'un corps dénué de vie...C'était une Harfreuse, vieille, au physique repoussant, monstre de l'ombre, sorcière des montagnes, vénérée des parjures. Avant que je ne rentre dans son repère, elle s'apprêtait à remplacer le cœur de l'un de ces sauvages par je ne sais quel autre chose. Le cadavre sans vie du parjure reposait sur une table de pierre, ressemblant à une table de sacrifice, le corps avait été creusé au torse pour en extraire le cœur naturel de l'individu. Ces êtres pratiqués des rituels noirs, et des offrandes à je ne sais quel représentation divine ou infernale, ils sacrifiaient comme des bêtes.

Je ne laissa pas le temps à la Harfreuse d'accomplir ce qu'elle voulait que je l'attrapa par les cheveux, la tira hors de la hutte et la traîna au sol pour au final, la jeter dans les escaliers.
Elle chuta du haut des marches, tombant aux pieds de ses alliés parjures qui étaient à genoux au sol, mains liés et jambe liés, devant les soldats et citoyens de Markharth.
L'Harfeuse avait dû se casser une jambe dans sa chute, elle n'arrivait pas à se relever, puis, elle respirait d'une manière ignoble, de même, elle dégageait une odeur de mort, donnant à quiconque la respirait, l'envie de vomir. Il était dur de tenir dans de telles conditions.

Je descendis les marches une à une, m'approchant de cette sorcières, j'étais toujours armé de ma dague. cette chose me regardait, me voyant comme la mort arriver. Je l'attrapa une nouvelle fois par les cheveux, leva le bras droit tenant ma dague et.... frappa un premier coup dans la nuque de la chose... Elle poussa un cri de douleur, un cri horrible et atrocement répugnant, la démence la prenait, elle s'agitait dans tous les sens, mais ne pouvait se défaire de mon emprise. Je remis un deuxième grand coup de dague dans la nuque, ce qui ne manqua pas de trancher la jugulaire, des nerfs et d'autres vaisseaux sanguins de l'Harfreuse. Les parjures qui se trouvaient devant, hurlaient, criaient, d'autres pleuraient, ils étaient plus que cinq... Il ne restait plus rien de leur vie, leur chef, ou leur divinité de faisait décapiter à grand coups de dague devant leurs yeux et tout autour d'eux, leur village brûlait et s'effondrait, emportant avec, tous les sauvages qu'ils avaient put aimer et fréquenter.

Puis, je mis un troisième coup, qui fut définitif, Je sentis les os se découper sous la force du coup... Le corps chuta, mais la tête me resta dans les mains. Et, regardant les derniers parjures en vie,  je me mit face à l'un de ces sauvages qui semblaient être un guerrier. Il était en pleurs, criait, et hurlait à la mort. Un garde lui mit un coup de gantelet de fer pour le remettre dans ses esprits. Puis, le regardant je lui fit :

- Parles-tu, et comprends-tu la langue commune ?

Il fit un signe de tête, montrant qu'en effet, il la connaissait. Je lança la tête de l'Harfreuse devant ses genoux, et la tête roula jusqu'à lui.

- Tu vas prendre cette tête et tu vas courir jusqu'à tes amis. Dis-leur que votre âge d'or est terminé. Puis, regardant les soldats qui tenaient les autres prisonnier, je fis... Achevez-les.

Les soldats de  Markharth exécutèrent sans broncher. Et leur tranchèrent la gorge. Ce fut rapide, presque sans douleur... Alors que l'autre et dernier Parjures fuyait rejoindre un autre camps de Sauvages pour les prévenir et avertir, j'avançais vers le capitaine de la défense de Markharth.

- Envoyez des soldats suivre ce Parjure, il vous mènera à un autre camps. Au moins, vous saurez à quoi vous attendre pour la suite, et où frapper quand vous aurez retrouvés vos forces.

L'officier acquiesça d'un bref signe de tête et partit donner les ordres.




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Arès Stalion
Le Lion d'Or
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MessageSujet: Re: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitimeLun 26 Mai - 22:52

Malgré ce que les combattants avaient pu voir là-bas, touts hommes et femmes qui avaient pu y perdre la vie, les citoyens et garde de la Crevasse chantaient sur le chemin du retour, des louanges, des éloges, des odes...
Cette révolution sociale et culturelle donnerait naissance à bien des chants, Arès malgré lui en ferait partit. Mais ce n'était que là un début. Bordeciel, aussi resplendissante soit-elle, n'était plus que l'ombre d'elle même. Elle avait grand besoin de redorer son blason, et de dépoussiérer sa lame.

Bordeciel avait une renommée qu'elle perdait peu à peu, les hommes du nord, connu pour leur ténacité et leur combativité, et bien-sûr, les grands châteaux Nordiques, immenses, imposants, robustes et sombre....

Le Royaume perdait peu à peu cette image, il reflétait le visage de pauvres Jarl défaitistes, se contentant du peu de prestige que peuvent avoir leur domaines et des aides du roi... Il était temps que tout change, que tout soit réformé. Des Empires ont chuté pour moins grave que ceci. Et des événements bien plus marquants encore approchent... Ce qui était autrefois des conflits ethniques se transforment en des conflits de religion, les séparation sociales se démarquent de plus en plus, et aucun empereur, ni aucun roi ne semble tenir face à ce tonnerre que l'on entend mais qui peine encore à se montrer.

Des camps se forgent, et visiblement, le conflit prendre de court tous les territoire de Tamriel, et pour la survie de Bordeciel, il faudra faire des choix. Des choix qui marqueront l'Histoire, mais aussi nos identités. Notre affiliation ne sera peut-être même pas un choix de notre nation , mais d'un oppresseur encore inconnu. Que réserve l'avenir à Bordeciel, Divins ou Daedras... Rien n'est sûr, mais toutes les épées de la destinées se font marteler, et seul le meilleur acier tiendra...


***

Nous nous trouvions devant les grandes portes dorées de la ville de Markharth, les gens rentraient, choqués, mais heureux, ils retrouvaient leur familles, saines et sauves. Beaucoup avaient l'impression d'avoir accomplit quelque chose d'important pour leur avenir.
Le chef de garde m'attendait en haut des marches de la cité,aux portes d'entrée.

- Venez-donc profiter de cette victoire, venez à la taverne, Talos seul sait depuis combien de temps la cité n'a pas autant de bonne humeur générale... Vous méritez bien une tournée, Seigneur Stalion.

J'ôta mon casque, et lui répondit:

-Vous méritez tout autant que moi. Certaines fois, les problèmes doivent être éradiqués à la source, au lieu d'être camouflés par des murs.


- J'imagine bien, mais vous avez amplement contribué à cette manifestation de bon-vouloir de la part de ces gens. Venez-donc profiter.

- Je crains de devoir refuser.... Votre... Jarl ne me veut plus dans la cité, les ordres sont les ordres... et tant que cet homme est Jarl, vous servirez ses ordres je le crains...

- Je le crains aussi... Il nous conduira tous à la ruine ce bougre ! s'exclama-t-il en riant. Mais, vos faits se feront entendre dans les cours royales de Bordeciel, j'y veillerai mon Seigneur, ne croyez pas vous priver d'une part du butin par je ne sais quelle valeur de modestie !


Tout en hochant la tête, signe de reconnaissance, mais aussi de remerciements, je lui fis:

- Je me souviendrai de vous, de ce que vous avez fait pour Bordeciel, vous aurez je l'espère d'ici peu un bien meilleur Jarl.

Je me dirigea vers les écuries de la ville, où avait été laissée ma monture le temps de mes affaires dans la ville. Je me dirigeais à présent vers Vendeaume, une fois de plus...
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MessageSujet: Re: Markharth- Purification par le feu. /// Terminé   Markharth-  Purification par le feu. /// Terminé Icon_minitime

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