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 Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -

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4 participants
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Arès Stalion
Le Lion d'Or
Arès Stalion


Messages : 128
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MessageSujet: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeSam 6 Sep - 22:20

Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - War-ships

L'Alliance avait faite faire un tout nouveau concept de navires. C'était des forteresses flottantes, pouvant transporter des tonnes et des tonnes de provisions et d'armement, le chiffre de personnes pouvant monter à bord était tout autant faramineux. Ces navires avaient étaient conçut pour les grandes autorité de l'Alliance quand elles avaient à se rendre d'un bout à l'autre de Tamriel en passant pas les mers. Ces monuments géants étaient de vrais œuvres d'art, décorés de bas reliefs de bois représentant des guerriers nordiques et Impériaux, mais aussi tout autre classes sociale. C'est deux navires étaient le début dans ce qu'était la coopération économique entre Bordeciel et Cyrodiil. Tout deux coopérant dans des projets impressionnants.

L'Alliance des Honneurs avait mobilisée ces deux gros navires ainsi qu'une petite frégate pour son voyage sur cette nouvelle île qui, représentait 75% des sujets de conversation lors des réunions internationale entre les représentants des grandes nations de Tamriel. Bordeciel, ainsi que Cyrodiil, en quête de souveraineté cherchaient à s'étendre, l'annonce de l'existence de cette île fut une bonne nouvelle pour cette Alliance naissante, cherchant à s'étendre et connaître le monde.
Le Seigneur Arès de la Maison Stalion, Main du Haut-Roi de Bordeciel avait été envoyé pour représenter la Couronne Royale de Bordeciel lors de cette expédition. Il allait être le grand commandant de cette expédition, chef militaire, avec le très connu Cyrodiilien Tynarius de la famille Impériale Tristevent. A eux deux, ils allaient présider l'expédition militaire, mais aussi savante. L'Alliance avait à s'installer en ces terres et l'exploiter. Comprendre mieux notre monde était aussi l'un des but de ce voyage.

Le Lion d'Or était installé dans une cabine personnelle dans la partie principale du navire. Une salle grande, spacieuse et majestueuse lui était réservée avec bureau, carte, et tout un groupe d'autres objets prédestinés à l'exercice de la navigation. Pour l'occasion, le Seigneur Stalion avait emmené avec lui, " l'armure de ministre ", forgée par le forgeron de Vendeaume, cette armure avait été offerte à Arès par le Haut-Roi lui même lors de l'accession du Seigneur Stalion au post de Main du Roi. Un gage de gratitude... Scintillante, belle, sans rayures, massives. Cette armure était d'une grande beauté. Bien qu'Arès préférait son armure aux couleurs de sa maison, il arborait pour cette grande occasion-ci, l'armure de la patrie et de la couronne. Arès avait exigé à ce qu'un cheval le lui soit amené pour l'expédition. Non pas que celui-ci n'aimait pas la marche, loin de là, mais il avait un tempérament fier, et monter un cheval le rendait reconnaissable et l'élevait plus haut que les soldats. Ainsi, les hommes d'armes pouvaient mieux voir en entendre les ordres du Seigneur. Ainsi débutait la grande expédition pour ce monde nouveau... Les deux grands Navires quittant le port de Cyrodiil, suivit de la frégate.



***



Cela faisait des semaines que les bâtiments de guerre naviguaient vers les coordonnées de l'île, droit, toujours tout droit, les navires ne flanchaient pas. Seulement... Lors d'une nuit de tempête, la mer se déchaîna laissant ses vagues marteler la coque des navires, et le vent d'engouffrer dans les voiles. La Frégate peinait, elle était secouée par ces vent violents et toujours plus intenses. Étonnement, les deux gros navires ne cédaient pas, ils brisaient en deux ces vagues qui venaient s'abattre sur l'avant du bâtiment tranchant celles-ci sans aucune difficulté. A l'intérieur des gros navires se faisaient ressentir de légères secousses, mais elles étaient minimes, le navire étant beaucoup trop lourd pour qu'il puisse se faire renverser. Malheureusement, des membres de l'équipage moururent embarqué par les rafales de vents les faisant tomber des mats pour replier les voiles, les navires une fois en marche, ne s'arrêtaient pas avant d'atteindre leur destination... La dure loi de la mission.


Dans la nuit, alors que les navires étaient censé se suivre, un homme vint en urgence dans les quartiers d'Arès Stalion...Le convoi avait perdu la frégate... Disparue dans la tempête. Nous ne pouvions savoir s'il s'étaient perdus, ou bien, s'ils avaient coulé. Mais les ordres étaient claire, pas de demi-tour. La navire de guerre que commandait Arès avait été baptisé " L'intrépide ". Ses concepteurs avaient essayé de placé en chaque navire des éléments évoquant les deux grandes nations de l'Alliance.
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Januarius Tristevent
Prince de Cyrodiil
Januarius Tristevent


Messages : 66
Date d'inscription : 30/03/2014

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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeDim 7 Sep - 15:07

PNJ: Tynarius Tristevent
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----

Jour 1: Départ de la Cité Impériale.
Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - AC3_Smythe_Haytham


La foule hurlait de joie à la vue des deux délégations principales. Constituées principalement de Nordiques et d'Impériaux, on pouvait également y voir des Dumners, principalement des colons en quête d'une terre nouvelle mais aussi des Khajiits. Je faisais partie de la délégation impériale, ou du moins de l'une des délégations impériale, car en effet, j'avais fais demander un navire supplémentaire, ou du moins une simple frégate pour accompagner les deux nouveaux "prototypes" (même si ils avaient déjà été testé pour faire un simple trajet entre Bordeciel et Cyrodiil) constituée par les ingénieurs de Gregorius Cesarii. Il s'agissait là d'un nouveau type de bateau mêlant la rudesse du bois nordique et la polyvalence de la technologie impériale. Ces deux navires étaient, eux aussi, un véritable symbole de la réunification de la culture nordique et impériale sous l'égide de l'Alliance des Honneurs.

Quand j'avais appris que ce serait Arès Stalion qui naviguerait à nos côtés pour diriger la délégation nordique, j'avais ressentis un profond soulagement de voir que Nelgar Sombrage n'avait pas considéré cette opportunité qu'offrait l'île comme mineure. J'avais avec le Lion d'Or participé à une sorte de récapitulatif, c'est là que je découvris l'identité du capitaine qui allait commander à mes côtés l'Impérialiste, le Capitaine Starinius.

L'Impérialiste, l'un des deux navires de combat, tirait avant tout sa force de son excellent rapport résistance/vitesse. Il était d’une robustesse étonnante pour un navire de sa catégorie. Tout provenait de sa structure . D’abord, à l’avant, un éperon destiné à fendre en deux n’importe quel navire, était fait de manière à ressembler à un taureau prêt à transpercer de ses cornes, ses adversaires. Ensuite, depuis la proue et la base de l’éperon jusqu’à la poupe, deux gigantesque ailes de métal étaient repliés sur les flancs du navire, partie immergée comprise. Cette barrière de métal protégeait le navire des attaques rudes, mais permettait en plus d’augmenter la vitesse du navire grâce à la partie immergée, qui offrait une surface plus lisse. Et le matériau léger qui constituait ces deux ailes leur conférait un potentiel de torsion et de tension assez élevé. Cette constitution conférait au bateau solidité, agilité et rapidité. Il s'agissait là d'un petit bijou technologique, une véritable forteresse flottante.

Lorsque j'eu rapidement atteint le pont de l'Impérialiste aux côtés du capitaine Starinius, la foule redoubla de ferveur jetant des fleurs aux heureux élus pour mener cette expédition.

D'une voix ferme j'annonçai au capitaine, pendant que nous prenions le large sous le regard ébahis du peuple de la Capitale. Derrière nous, suivait l'Intrépide et la frégate du Préfet Kal.


-Pourriez-vous m'apporter le registre d'équipage ? J'aimerais consulter nos effectifs.

(HRP: Voir en bas du post)

Jour 15: Contestation d'autorité.
Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - 20121104152801!AC3SP_HD_Haytham
Sur les flots toujours bleus se répercutait les voix des marins qui chantaient des airs très connu comme: Over The Seas and Far Away mêlé au bruissement calme des vagues. L'extrème tension des cordes provoquait également un bruit sourd. Les voiles de "l'Impérialiste" pendouillaient aux mâts, mornes, affalées, flapies. Et pourtant, debout au pied de la proue, je ne pu que m'arraché à la contemplation de l'océan tamriélique. Il était magnifique. Me retournant ensuite, j'observai l'équipage, nombreux, mais efficace. Je n'avais guère éprouvée une pareille félicité. Le navire était magnifique et tout semblait fonctionné à merveille.

Beaucoup de colons, n'avaient jamais navigué en mer. Tout résolu qu'était chacun à ne rien laisser voir de leur peur aux autres, certains de ces braves volontaires tentaient vainement d'apercevoir l'île à l'horizon et pourtant...nous n'étions même pas à la moitié du voyage. Deux pionniers vomissaient par-dessus bord. Quant aux autres, ils ne bougeaient pas des cales, aimant cent fois mieux la compagnie fébrile des moutons et du bétail dans les niveaux inférieurs du navires.

Le capitaine Starinius avait demandé à me voir dans sa cabine, qui était sans aucun doute moins agréable que la mienne, ce qu'il n'avait jamais vraiment digéré. J'avais suivis le matelot qui m'avait transmit ces informations. Il me conduit jusqu'au capitaine.


-Bonjour, capitaine, le vent n'est guère satisfaisant aujourd'hui. Dis-je afin d'entamer, par pur politesse et non par envie, la conversation.

-Certes, certes, mais ce n'est pas pour ça que je vous ai fais venir jusqu'ici. J'ai remarqué que vous aviez bouclé les réserves d'alcool et vous êtes apparemment le seul possesseur de la clé permettant d'y accéder. J'aimerais obtenir cette clé.

-Ah...c'est donc de cela qu'il s'agit. Oui, j'ai décidé de diminuer la consommation d'alcool pendant le voyage. A chaque début de semaines, l'équipage aura la permission d'en consommer une certaine quantité à tour de rôles.

Le capitaine Starinius posa ses deux pieds sur son bureau, sortant une bouteille d'eau-de-vie de son bureau.

-N'importe quoi...notre nourriture est salée, nous avons besoin de boire plus.

-Voilà pourquoi, j'ai investis personnellement dans l'acquisition de plusieurs tonneaux d'eau potable supplémentaires.

-De l'eau ? Intendant Tynarius, je me moque bien de vos titres de noblesses vous savez. On m'a payé pour naviguez à vos côtés, pas pour me priver d'alcool.

Il vida sa bouteille dans une chope. Mais, n'eu pas le temps de la boire, Je m'étais penché devant lui, plongeant mon regard dans le sien n'affichant sur mon visage qu'une expression lassée de son attitude puérile.

-Vous n'êtes que capitaine, je pourrais très bien vous faire passer par dessus bord, si je le désire. Alors, gardez vos paroles pour vous. Si vous osez encore une seule fois remettre en question mes directives, je vous jure, que vous n'aurez pas le plaisir de voir cette île avant votre mort.

Il gloussa.

-Je suis le capitaine de ce navire !

-Vous êtes le capitaine car Gregorius vous a jugé digne de commander ce vaisseau, et je ne vous ai pas beaucoup vu à la barre, vous êtes un idiot cupide, voilà pourquoi l'équipage vous méprise depuis le départ. Tâchez de ne pas oublier ce que je vous ai dis aujourd'hui. Et au passage...

Je saisis sa chope et l'a bu d'une traite avant de la reposer sur son bureau.

-Bonne journée, capitaine.


Jour 36: Soirée paisible.
Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Journey_to_the_New_World_2

Cela faisait plus d'un mois que nous naviguions sur les eaux imprévisibles de Tamriel. Le vent était revenu, ce qui voulait dire, que nous pourrions atteindre l'île au prochain mois.

Je flânais dans les cales du navire afin de discuter avec l'équipage, mais également et surtout pour me dégourdir les jambes. Au centre des entrailles de l'Impérialiste, sur toute la longueur, une sorte de fosse descendait jusqu'à la quille et on l'avait remplie de toutes sortes de choses: des sacs de farines, des tonneaux d'eau, des barils de viande de porc, des bocaux de miel, des pommes, des noix, des fromages au goût raffiné, des biscuits salés, des navets et des flèches de lard. Du plafond, pendaient des jambons et des guirlandes d'oignons. Dans la "pièce" suivante, se reposaient les matelots dans leurs hamacs.

Plus loin encore, se trouvait la cabine du chirurgien. Un homme avisé mais assez âgé qui examinait un patient.


-Est-ce la peste? lui demandais-je avec une certaine forme d'inquiétude.

-Non rassurez-vous, seigneur Tristevent, ce n'est que l'Anemie, il doit se reposer durant les prochains jours, c'est tout.

D'un hochement de la tête, je poursuivis:

-Tant mieux, vos recherches avancent ?

-Pas vraiment, à dire vrai, mais elles progressent lentement dirons-nous. J'ai remarqué que les marins semblaient mieux supporter notre...condition, que les colons, l'eau de mer et la grande consommation de sels semblent moins toucher leur organisme et le climat humide et assez insupportable de ce lieu, ne paraît pas les gêner autant que nous.

-En effet, c'est fascinant, écoutez, puissiez-vous progresser davantage à ce sujet, je ne vais pas vous dérangez plus longtemps.

-Oh, ce n'est pas le cas, seigneur. Répondit-il.

Un sourire apparu sur mon visage à mon départ de sa cabine. Inspectant méthodiquement chaque couloirs, chaque cabine, je devais m'assurer que les passagers sachent que j'étais présent et disponible pour eux. Ce genre de voyage était comme pendant une bataille...Tout dépendait du moral des troupes. Hormis, les colons qui avait malgré tout réussit à s'adapter à cette vie en haute mer, tout semblait fonctionner parfaitement. En marchant, je vis la cabine de Camille Lachance. Je ne lui avais pas vraiment parler durant le voyage, il faut dire qu'elle était de nature...discrète. C'était une femme mystérieuse et assez intrigante. L'un de ses "chiens de gardes" gardaient l'entrée de sa chambre. Je lui annonçai:

-Salutation, vous savez, il y a plus de nonante (quatre-vingt-dix) militaires sur ce navire, Camille ne risque pas grand chose ici.

-Bonsoir, messire Tynarius. En effet. Mais, vous savez, une femme aime être bien entourée...de plus, elle se repose et a préférée que personne ne l'a dérange.

-Je comprend, bien, remettez-lui mes plus sincères salutations.

Tournant les talons, j'allais retourné dans ma cabine, situé à côté de celle du capitaine, dans les niveaux supérieurs du navire.

Emergeant des cales, je respirai un grand coup profitant de l'air frais qu'offrait la mer.


Jour 67: La déchéance des vagues.
Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Haytham47

Je ne connais pas de bruit aussi assourdissant que le fracas des vagues sur la coque d'un navire. Surtout quant on se trouve sur le pont alors qu'une tempête torrentiel fait rage. On ne sait pas percevoir si il s'agit d'une illusion d'optique à cause du choc ou si le monde tremble réellement. Cela n'a sans doute aucune importance.

Certaines planches volent en éclats. Des hommes finirent engloutit par des vagues titanesques. Nous fûmes balayés par la pluie et les bourrasques chargées d'embruns. Alentour, les vagues semblaient gonfler sans cesse...comparable à de gigantesques montagnes d'eau à la crête écumante, prêtes à nous engloutir, nous projetant sans cesse d'un profond canyon marin à l'autre. Heureusement que cette véritable forteresse flottante était presque invincible, sans quoi, je pense que nous n'aurions pas fais long feu.

Une partie des volailles réussirent à s'échapper des cales et passèrent par-dessus bord. Les hommes s'agrippaient aux portes des cabines. J'entendis des hurlements lorsqu'un matelot fut emporté par la tourmente. Les portes et écoutilles furent condamnées. Seuls les plus braves et agiles osaient encore grimper dans les échelles de corde pour aller manipuler les voiles.

M'agrippant du mieux que je le pouvais, je réussis à dire au capitaine qui, pour la première fois, maniait la barre:


-Continuez tout droit, ne changez pas de cap...

Il reçu une violente rafale mélangeant eau et vent en pleine face. J'avais réussis pour ma part, à tourner la tête au bon moment.

-C'est de la folie ! Par Shéogarath, il faut virer de bord et s'éloigner de la tempête si l'on veux pouvoir s'en sortir.

-Non, on ne change pas de cap. C'est un ordre.

-Mais...! Je ne peux pas continuer...c'est...impossible, on va tous mourir ! beugla-t-il.

-Alors, je le ferais...

Plongeant ma dague dans sa poitrine, je savais que désormais...le capitaine n'était plus d'aucune utilité. Le voyage l'avait affaiblit et la tempête encore plus, sans parler du poids de ses responsabilités qu'il ne savait pas gérer. Il était temps que je prenne entièrement les commandes de ce navire.

Je pris la barre des mains mourantes du capitaine qui s'écroula au sol, avant de virer brutalement pour contrer un brise-lame qui approchait dangereusement. Personne ne s'y attendait. Ni les hommes de l'Impérialiste, ni le de feu capitaine, juste moi. Et encore, j'eus pleinement conscience de ce que je faisais quand la proue de l'Impérialiste perfora la vague....

La nuit allait être longue avant d'atteindre l'île...mais je sentais, au plus profond de mon âme, qu'on approchait. Jetant un oeil derrière moi, je vis l'Intercepteur, cependant, la frégate du Préfet Kal ne semblait plus nous suivre...On ne pouvait pas se permettre d'aller en arrière...Au moins, s'est-il sacrifié pour l'Empire N'est-ce pas la plus belle mort qui soit ? Mourir avec dignité en ayant la fierté d'avoir servit sa patrie d'une loyauté inébranlable. La satisfaction d'avoir protégé le peuple de l'Empire ! D'être entrer dans l'Histoire de tout Tamriel en participant activement à la pacification de celle-ci. C'était un grand honneur...


Jour 68: Débarquement.
Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Haytham_kenway_by_betelgeuse7-d5mltsv



Nous avions réussis ! On pouvait enfin apercevoir les côtes de l'île. Enfin ! Après une tempête titanesque, nous pouvions enfin un peu souffler...quoique, cela ne durerait pas longtemps. En effet, l'île était ,malgré sa beauté et l'espoir qu'avait les colons en celle-ci, une terre hostile et inexplorée.

Utilisant une chaloupe pour arriver sur la plage, je vis qu'une forêt était toute proche de notre lieu de débarquement. Bien. De plus, la région au loin semblait fertile et suffisamment large pour nous étendre. On n'aurait pas plus espérer mieux, il est vrai.

Je saisis une poignée de sable dans la main, le laissant retomber par la suite, lentement. Il était temps.


-Ordonnez à tous de décharger le navire. Nous allons nous positionner ici. Remorquer l'Impérialiste jusqu'à la plage. Je ne vous retiens pas, messieurs. Je vais resté ici et réfléchir à la suite des événements.


~*~



Plus tard,

Les deux navires de guerre formaient une sorte de remparts pour contrer le vent frais de la région. Arès avait, également, débarqué sur la plage. L'ayant laissé commander ses troupes afin de préparer au mieux notre installation, je finis tout de même par partir à sa rencontre:

-Nous avons réussis, Arès ! Voici donc ce Nouveau Monde...Nous avons perdu la frégate et une poignée d'hommes lors de la tempête, je tâcherais de créer un petit monument pour leur rendre hommage une dernière fois. Mais, nous ferons cela plus tard. Avant d'entamer la construction de notre bastion, nous devrions remonter le moral de nos hommes. La tempête n'a pas fait énormément de dégâts, mais psychologiquement, ce n'est pas le cas pour tout le monde.

Par la suite, et du haut d'une caisse de cargaisons, j'élevai la voix suffisamment fort pour que tout le monde puisse m'entendre.

-Tous ! Aujourd'hui, vous êtes entré dans l'Histoire ! Nous sommes les premières forces de l'Alliance à avoir planter notre drapeau sur cette nouvelle terre ! Vous êtes les pionniers d'un Nouveau Monde ! Oui ! Un Nouveau Monde ! Ensemble nous redresserons les nations humiliées, nous redorerons le blason de notre empire bien aimée ! Et nous fortifierons les points faibles de chacun. Sachez que cette île profitera à tout les alliés et membres de l'Alliance ! Néanmoins, afin de maintenir l'ordre et la sécurité dans notre colonie, la loi martial sera appliquée avec rigueur et fermeté. Nous devrons travailler côte à côte pour créer notre colonie ! Les peuples constituant l'Alliance des Honneurs ont les yeux rivés sur nous ! Nous devons réussir, et voilà pourquoi, je proclame officiellement qu'en attente d'une situation plus stable, que le Seigneur Stalion et moi même, dirigerons la création et le maintien de notre civilisation sur cette île. Celle-ci qui deviendra, elle aussi, un grand symbole pour l'unité des peuples ! Nous serons unis dans la diversité pour façonner cette terre promise !

>

    Registre d'équipage de l'Impérialiste:


-Tynarius Tristevent
-Capitaine Starinius.


-80 Légionnaires Impériaux.
-Camille Lachance accompagné de 4 de ses associés.
-20 Colons (8 Impériaux, 7 Dumners, 2 Nordiques, 2 Khajiits.)
-10 Soldats de la Légion Taurus.

Animaux:

-Deux chiens (mâle et femelle)
-Une demi douzaine de porcs.
-Quatres vaches et un taureau.
-Trois chevaux.
-Six poules.




Recensement fait par: Gregorius Cesarii, Greffier de la CEO.



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Arès Stalion
Le Lion d'Or
Arès Stalion


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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeLun 8 Sep - 0:17

Depuis le navire, le Lion d'Or observait....

Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - AA1


Nous y étions arrivé. L'île, la fameuse île. Le paysage était magnifique, et atypique. Cela n'avait rien à voir du tout avec le grand Nord qu'était Bordeciel. La partie de l'île où nous avions accosté était un paradis sur terre. Une grande plage de sable blanc, grande et large... Mais aussi s'étendait derrière une jungle luxuriante de grands arbres, grands voir immenses, des lianes, de grandes feuilles. En fond de paysage, on pouvait apercevoir d'énormes montagnes rocheuses, et en regardant sur notre côté il y en avait encore, beaucoup plus proche. Le lieux semblait idéal au développement humain ou de quelconque autre forme de vie. Peu importe se que cachait comme espèces cette île, ils avaient surement vue que nous arrivions et s'était donc enfuit. Ou nous observait... A voir.

Le second bâtiment de l'Alliance était là, à côté de celui que présidait Arès. Grands, fier et majestueux. Montés comme des Montagnes, ces deux forteresses que l'on était sensés appeler " navire " était à  l'eau tout proche de la plage positionné latéralement pour faire barrière aux vents du littoral. Visiblement, l'équipage des deux navires n'avait pas chômé. Ils commençaient déjà à embarquer les animaux de reproduction qui avaient été transporté sur l'île afin de le leur faire des enclos. Des chaloupes menaient les tonneaux d'eau au sol alors que d'autres amenaient équipement. Des hommes à même la plage commençaient à planter les tentes. Celles-ci étaient plantées de manière très ordonnées, très droites et rangées. Celle de Tynarius Tristevent siégeait à côté  de celle du Lion d'Or. Puis, tout autour était plantée les tentes des chercheurs, colons et mages, encerclées et quadrillées par l'énorme nombre de tentes des soldats.

Visiblement, Tynarius était pressé, Arès le voyais depuis le pont. IL se trouvait déjà sur l'île, pensif et sérieux à admirer celle-ci. Admirer, mais surtout analyser. IL n'était avant tout pas là pour profiter de la vue et du paysage, mais surtout pour instaurer une colonie de l'Alliance. Au delà de ceci, ce n'était pas son genre de se laisser aller. Visiblement, ceux qui étaient prédisposés à servir le Seigneur Stalion étaient des professionnels, ils attendaient, tous prêt à accomplit leurs tâches. La monture qu'avait exigé le Seigneur Stalion était elle aussi sur le pont, tenue par un soldat. En s'approchant de son cheval, le Lion d'Or escalada l'animal pour s'asseoir sur la scelle. Puis, dirigeant celui-ci vers la chaloupe qui était sensé les accueillir pour les mener à la terre ferme, il fit monter le cheval tout en restant dessus sur la chaloupe. Les rameurs firent signe de descendre la barque à l'eau et une fois l'action faite, ils ramèrent pour se déplacer direction la plage. Avançant petit à petit sur l'eau bleu lagon voir turquoise, Le Seigneur Stalion pouvait presque voir toute la vie sous-marine qui grouillait en dessous de la barque tellement l'eau était claire et limpide.

La barque arrivait enfin à la plage, le bois de la coque s'enfonçant dans le sable humide de celle-ci. Le Seigneur Stalion descendit de la chaloupe sur son cheval, laissant ainsi les rameurs amené le petit bateau transport sur la plage. Arès faisait trotter sa monture jusqu'à Tynarius. Les sabots du cheval s'enfonçaient légèrement dans le sable, lui rendant une sensation agréable.Cela lui faisait probablement un grand bien vue le temps qu'il avait passé dans la cale sans voir le jour,  et couché sur du bois. S'approchant enfin du Tristevent, Arès Stalion était haut-placé sur son cheval, cela lui donnait une certaine allure, voir même charisme. Il adoptait toujours une tenue droite et strict, à cheval, en armure... ou bien les deux combiné. Arès était extrêmement strict avec lui même et adoptait toujours des postures digne de l'image qu'il voulait imposer et qu'il imposait. Après tout, c'était un devoir d'être un tel personnage, il était Main du Roi, et donc Gouverneur du Nord en ces lieux inconnus, mais aussi le richissime et puissant Stalion.

Tynarius fit au Lion :

-Nous avons réussis, Arès ! Voici donc ce Nouveau Monde...Nous avons perdu la frégate et une poignée d'hommes lors de la tempête, je tâcherais de créer un petit monument pour leur rendre hommage une dernière fois. Mais, nous ferons cela plus tard. Avant d'entamer la construction de notre bastion, nous devrions remonter le moral de nos hommes. La tempête n'a pas fait énormément de dégâts, mais psychologiquement, ce n'est pas le cas pour tout le monde.

Ainsi, lui répondit Arès:

- Voilà enfin la cause de tout ces débats internationaux. il prit une brève inspiration Nous allons conquérir Tynarius... conquérir. Puis, se rappelant d'une chose Il semblerait la frégate Impériale qui nous suivait se soit faite emporter pendant la tempête.

Alors qu'un certain nombre d'effectif se chargeaient de descendre une bonne partie des provisions des deux navires, un autre gros groupe d'effectif se chargeait de couper du bois à la machette pour commencer à construire des feux de camps, ainsi que des tables et des petits fortifications. La construction de multiples tours de guet était aussi à la liste. L'anarchie n'avait pas sa place à cette expédition. Et, il était convenable de voir que tout le monde savaient ce qu'il y  avait à faire. Tous s'occupaient comme il se devait en se rendant utile. Certains groupes faisaient de la reconnaissance dans les lieux autour dans la zone initiale, d'autres récupéraient de la matière première. Un groupe de mage escorté par une dizaine de soldat étaient même partit explorer la forêt, voir même chasser pour découvrir de nouvelles espèces ou autre.

Une multitudes d'hommes s'étaient armés de pelles pour faire un étage de sable et de terre supérieur à la hauteur qu'était la plage, ils opéré cette techniques sur une grosses partie de terrain qui à l'avenir servirait pour accueillir le camps. La surélévation le protégerait ainsi des montées des eaux. Dans un premier temps, avant l'exploitation des minerais et des roches les forces de l'Alliance se contentait du bois que pouvait offrir la forêt pour se construire bâtisses et murailles de bois. Par la suite viendrait la roche.


Camps précaires de l'Alliance:


Plan des tours prévues aux extrémités des protections:


Une multitude ce genre de camps étaient prévue à l'avenir dans cette île qu'ils allaient explorer, les postes de contrôles devaient être construit, c'était un impératif, garder le contact aux seins de cette île était nécessaire au bon fonctionnement de la cohésion des troupes, et pouvoir se ravitailler si nécessaire était tout autant utile. Voyant que tout se passait comme prévue, Arès esquissa un léger sourire au coin des lèvres.

Posté du haut de son cheval, Arès observait, Tynarius convoquait les quelques personnes qui se trouvaient autour pour un charmant discours. Il expliqua les choses, et mit cartes sur table les affaires. Précis et net, il expliqua ce qu'il attendait, et n'ajoutant pas un mot, Arès se retira pour se diriger vers sa tente. Les choses se passaient extrêmement bien. Et la voie que l'Alliance suivait, devait continuer dans cette même direction
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Camille Lachance
Matriarche De l'Ombre
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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeSam 13 Sep - 17:22

Après être passé récupérait la récompense pour l'assassinat du général Camille rentra contente d'elle d'avoir pus mener à bien cette mission délicate, assassiner un haut personnage de la légion dans une petite ville remplie de légionnaires était pas une mince affaire mais grâce aux histoires de son père et à sa faculté à les retailler dans une autre situation Camille est désormais libre comme l'air et satisfaite d'entendre les septims s'entre choquer à chaque foulées de son destrier.

Pendant les semaines suivante l'annonceuse alterna entre représentante de la famille marchande « Lachance » et Assassin d'élite pour le compte de la Main noire jusqu'aux jours où un jeune garçon l'intercepta devant chez elle pour lui remettre une missive 
La jeune femme sourit à l'enfant et lui glissa quelques septims dans la poche avant de lui ébouriffé les cheveux puis une fois l'enfant partit elle ouvrit la missive :


Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Invita10


-Une nouvelle île, de nouvelles cités, de nouveaux commerces, un nouveau Sanctuaire.

La nouvelle ravie Camille qui s'empressa d'informer ses familles, l'une voyait en cette occasion l'opportunité d’accroître sa renommé et renforcer son commerce  et sa richesse et l'autre voyait en cette île un bel emplacement d'un nouveau sanctuaire et de quoi redémarrer une nouvelle vie moins clandestines que celle mener à l'heure actuelle.
Camille contente de sa trouvaille montra la missive à ses parents et leur expliqua son plan :

Mon plan est simple ou du moins au début, le but serai de rentrée parmi les colons sous notre couverture la plus naturelle en tant que marchand pour établir des comptoirs voir des exploitations là bas, puis se faire un « nom » la bas ou prendre le plus de place et une certaine importance pour éviter les mouchards et autres et pouvoir une fois notre famille installer correctement et de façon stable pouvoir ouvrir un sanctuaire sur cette nouvelle île, car nul n'est à l'abri de la Volonté de Sithis, et sûrement pas sur une nouvelle île. En plus d'agrandir la zone de chasse on accroît la fortune de la famille notre prestige pour notre bien et celui de la confrérie, quand dites vous.
Oui cela pourrais être une bonne idée mais qui ira là bas ? Nous avons un sanctuaire déjà à faire tournait .
Je peux m'absenter un moment, j'ai un silencieux pour les contrats et la paperasse.

Je compte y aller accompagner de quelque membres de la confrérie pour m'assure une garde et quelques paires de bras pour ériger un nouvel empire

Après l'approbation de ses parents Camille descenda dans le sous sol où se terraient les autres membres de la confrérie noire, elle les fît tous regrouper dans la salle principale pour leur demandait qui serait près à la suivre dans l'inconnu et pourquoi elle devrait les choisir parmi les autres.
Elle en choisit quatre, quatre hommes, des hommes plutôt baraqué pour l'aider dans ses tâches manuelles et de besognes pour cultiver la terre.

Une fois leur avoir fournit une « couverture » à eux aussi comme étant des « associés » ou plutôt des mercenaires.

Une fois son équipe formée Camille envoya une lettre à homme qui s'occuper de l'organisation un certains  Gregorius Cesarii.


-Bonjour, je me présente je suis Camille Lachance représentante de la famille marchande « Lachance » j'aimerais faire partie du voyage moi et mes quatre « associés » qui m 'aiderons à m'établir sur la nouvelle île enfin d'y ouvrir un ou plusieurs comptoirs commerciales et peut être si les autorités me l'accorde créer une exploitation de type vignoble, vergers et si l'or et les gemmes sont présents en nombre je pourrais essayer de faire venir des joaillier pour la fabrique de bijoux directement sur place ou destiné à l'exportation si les conditions le permettent.

Après avoir reçu confirmation du gérant, Camille se prépara au grand voyage emportant avec elle ses hommes, quelques armes dissimulés, une bannière de la confrérie noire cachés au fond d'un sac de graines elle emporta aussi des cépage de vigne du massif de Skingrad qui sont réputés pour leur goût fruité et bien évidement des habits et autres babioles nécessaires pour une femme coquette.

La chevauchait se passa sans embûche majeur, seuls quelques têtes de pestiférés ont sautés pour s'être trop approché du convoi qui avancer rapidement en direction de Anvil où les attendaient L'Impérialiste, un super-navire conçu pour l’occasion et diriger le frère de l'Empereur lui même.

Il y avait un attroupement fou sur les quais, un va et viens incessant de la part des marins rythmé par le bruit du vent et des claquements de l'eau sur la coque de ce superbe navire.
Une fois qu'un marin lui est montrer sa cabine attitré Camille remonta sur le pont pour savourer un moment rare, un soleil décroissant sur la mer Abécéenne coloriant le ciel de multiples couleurs rose orange et violet, un spectacle rare pour Camille qui vit dans les terres loin de la mer.
Mais le spectacle qui était encore plus impressionnant était quand les marins ont commencé à chanter en cœur Over the Sea and Far Away, même Tynaruis Tristevent qui a la réputation d'être impassible et froid montrait des signes de réjouissement et arborait un sourire de satisfaction.

Les 15 premiers jours étaient simple, tranquille Camille put apprendre à jouer de divers instrument de musique sur le pont grâce à quelques musiciens qui allez eux aussi vers le Nouveau Monde. Mais plus les navires de la flottille s'éloignaient des côtes plus la mer devenait agitée et les vent violents, c'est à partir d'un mois et demi de bateau que les tempêtes commençaient à être fréquente mais celle qui a le plus marquée Camille et ses acolytes c'est sûrement la dernière avant d'ils n'arrivent au Nouveau Monde.
Camille et ses acolytes avaient l'habitude de vivre dans la pénombre et dans des lieux clos comme le Sanctuaire et même d'être balancés comme sur un cheval mais, cette nuit là rien n'était comme avant , le bateau roulait de gauche à droite et de bas en haut bien sur les marins affirmaient que le bateau était invincible mais la mer lui menait la vie dur … lui et surtout ses occupants, seuls qui restait car beaucoup d'hommes tombèrent depuis le pont.

Camille elle resta dans sa cabine pour adresser une prière à la Mère de la Nuit et à Sithis même Méphala eux le droit à une pensée car l'Annonceuse comptait revenir un peu sur les cultes de ses ancêtres, mais sa prière fut interrompus deux fois : la première fois par Tynarius lui-même qui voulait passer le salut à Camille heureusement quelle avait demandait à un de ses gardes de rester devant la porte car si Tynaruis avait surprit Camille avec un étendard de la confrérie elle et ses associés seraient aussitôt passés par dessus le bord, la seconde fois fut par un poulets qui s'était échappé de sa cage et qui n'avait pas eu meilleur idée de venir caquette devant la porte de Camille qui furieuse de l'entendre sortit comme une sauvage de sa cabine, attrapa la poule par le cou qui eu le temps de comprendre quelle fut emportait dans l'antre de la Camille sombre.
La femme caressa la poule terrorisé qui se tue … une fois la poule calmait camille la laissa gambadait dans la cabine jusqu'aux prochain cri quelle poussa, à cet instant l'Anonnceuse laissa toute ses envies meurtrières prendre le dessus et elle décapita la poule d'un coup de tantôs, puis elle apporta la poule au cuisine disant que la poule s'était ouvert la tête en heurtant des objets dans les cales.

Le lendemain l'Impérialiste avait atteint son but : le Nouveau Monde.
Le petit groupe d'assassins aida les marins à déchargeaient et à organiser le camp … ou du moins leur tentes situer dans le « District » des marchands et autres personnages de la classe sociale modeste-aisé.
Camille préférait attendre que les éclaireurs explore les environs et que d'une « ville » s'installer correctement pour commençait à mettre à exécution son plan d'enrichissement et de commençaient à prendre de l'importance et de l'influence... pour le moment elle faisait profil bas.
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Januarius Tristevent
Prince de Cyrodiil
Januarius Tristevent


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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeDim 21 Sep - 8:08

HRP: Changement de police d'écrite pour les dialogues de Tynarius.

Rapidement, le campement de l'Alliance s'était formé grâce aux initiatives d'Arès Stalion et à mes efforts afin de synchroniser les troupes nordiques et impériales. J'ai également pris l'initiative de rassurer les colons en leur fournissant des tâches adaptées à leurs anciennes professions. Il fallait l'avouer, la vie commençait lentement à germer sur cette île...

Une semaine s'était écoulée et nous avions construit une gigantesque palissade en bois, permettant de nous protéger. Seul le côté nord était encore à découvert, mais cela ne serait tarder. Les tentes étaient parfaitement alignées, et après une semaine à dormir dans l'une de celles-ci, je commençais tout doucement à me lasser de cette sensation d'inconfort. C'est pour cela que j'avais décidé d'entreprendre la construction d'une première habitation, en bois pour commencer, mais celle-ci allait être fortifié au fil du temps. Nous aurions alors la possibilité de loger les colons mais également de nous loger nous, le commandement de l'île. Les militaires allaient devoir rester encore un certains temps dans leurs tentes, mais celles-ci laisseront petit à petit leur place pour des foyers dignes de ce nom.

Nous avions envoyés des escouades d'archers afin de chasser les divers animaux peuplant l'île, ce qui avait au passage permit d'explorer un peu l'île tout en collectant des ressources.

Soit, les choses fonctionnaient bien pour le moment. J'avais entrepris de faire un bref passage du côté des enclos. Dans un coin du campement, nous avions stockés toutes nos bêtes afin que celles-ci puissent se reproduire. C'est là que je fis plus ample connaissance avec l'un des fermiers.


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-Bonjour, vous n'êtes pas beaucoup sortit pendant la traversée, comment vous appelez-vous ?  

-Salutation, seigneur Tynarius, je suis Alexandre Ricrius, certes, j'ai comment vous devez le deviner, le mal de mer...Je n'avais jamais mis les pieds sur un bateau avant.

Levant un sourcil, je lui répondis, curieux:

-Ah, je comprend, dîtes, vous vous exprimez bien pour un fermier, que faisiez-vous avant ?

-J'étais fils d'un propriétaire terrien aux services de la famille Marxus, je m'occupais de gérer les serfs lors des récoltes, ce genre de chose en héritier de mon paternel. C'est là que j'ai appris à maîtriser la terre. D'ailleurs, j'ai remarqué que l'île possédait un sol fertil, nous devrions faire des cultures autour des fortifications, ça pourrait nous être utile quand la viande ne suffira plus à nos hommes et que nos dernières vivres seront épuisées.

-Je vois, oui, j'y avais également pensé, justement, vous m'avez l'air de bien maîtriser ce domaine, que diriez-vous d'être notre "législateur de la terre" ? Vous vous occuperez de préparer le terrain avec une poignée d'hommes et quand notre bastion sera achevée, nous pourrons entamer nos premières cultures.

-Ce serait un honneur, seigneur. J'ai repéré du blé sauvage au bord d'une rivière, je pense que si nous pouvons le récolter, le replanter ne posera pas de problèmes. Pour "tester" la terre, il vaux mieux utiliser des produits locaux, nous pourrons par la suite planter nos propres graines. Nous utiliserons le bétail pour labourer la terre. Dés que vous ou le seigneur Arès m'en confierai la permission, j'entamerais tout ceci. En attendant, je vais rassembler des volontaires pour savoir qui est prêt à se consacrer dans l'agriculture...

-Et bien écoutez, c'est parfait, je vais prendre congé de vous, j'ai d'autres affaires à régler.

Je m'étais éloigné, voilà une rencontre intéressante.
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Arès Stalion
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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeDim 21 Sep - 11:34

Comme le disait si bien Tynarius, " la vie germe sur cette île ". Il avait tout-fait raison. Nous, civilisions autant que possible les coins où l'on allait, laissant derrière nous, emprunte de notre passage. La vie, dans toute sa splendeur... prenait forme et s'étendait peu à peu. L'humain changeant la nature. Les choses avaient plutôt bien avancées, Des bâtiments peu à peu se développaient, les hommes tenaient leurs positions même si pour l'instant, que ce qui était des gardes, les choses devaient être ennuyeuses. Les grandes fortifications, leur construction prenaient fin, et peu à peu, le campement se transformait littéralement en base. Les hommes qui s'occupaient de " sculpter " le terrain, avant reçut pour ordre de creuser des tranchées autour de la base, et de les remplir des lances de bois formant des piques.

En effet, toutes les précautions étaient à prendre, bien que l'endroit avaient un semblant de paradis, rien ne pouvait empêcher des créatures carnassières, prédateurs ou autre forme d'ennemis à vouloir nous attaquer. Pour les animaux, cela devait être peu probable, vue le bruit que faisait ce camp, et la lueur qui en sortait tous les soirs, c'était peu probable, voir impossible que des animaux ne viennent se frotter à nous. Il vaut mieux trop de précaution que pas assez après tout...
Les chercheurs, en ce promenant dans la jungle avaient réussit à trouver une forme de patate qui ne poussaient que sur cette île, c'est un aliment qui apparemment était comestible, et plutôt savoureux d'après ceux qui y avaient goûtés. L'une des installations des plus complexe à réaliser avec le peu de matériels que nous avions venait d'être achever. Une forge, faite de pierres, consolidés avec des blocs de calcaires qui avaient été retirés de la plage, c'était d'assez gros rochers qui avaient réussit à sectionner pour que le bassin accueillant les braises, les flammes, soit circulaire. Une deuxième construction assez attendue et qui allait être achevée de l'après midi, c'était un mini système de canalisation fait avec des troncs de palmiers. Ainsi, l'eau de la mer pouvait être importée de la mer, mais les eaux usées du camps pouvaient aller dans un bassin conçut pour celles-ci.


Tynarius alors grand leader Impérial en ces lieux avait fait part à Arès Stalion de l'avancé du campement, le côté nord qui était alors à découvert était la partie du camps à le plus travailler. C'est dans cette optique qu'il y eut l'ordre de doubler d'effort et d'effectif à cet endroit là avec un léger renforcement supplémentaire à celui qui était déjà sur place.


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Le Fourbe (MJ)
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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeDim 21 Sep - 14:54

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La délégation de l'Alliance, constituée des forces nordiques et impériales conjointes ! Ensemble, ils avaient formés un puissant bastion. Un campement organisé, à l'image d'une ville future où l'ingéniosité impériale et l'efficacité nordique ne formaient qu'un seul et même objectif. Ils avaient même déjà constituées un système de canalisation, plutôt ingénieux et possédaient des défenses, et des pièges autour de leur, ce qu'on pourrait presque appelé, fort.

Les Ceyatatars les localisèrent moins rapidement que les autres délégations de par leur position éloignée. Cependant, l'éclat de cette petite ville finit par la trahir alors qu'une dizaine d'archers tribaux faisaient un tour de reconnaissance dans la zone pendant la nuit. Les défenses de l'endroit étaient suffisamment inquiétantes pour faire renoncer aux Ceyatatars d'attaquer directement. Cependant, ceux-ci eurent un autre plan grâce à l'ingéniosité de l'un des leurs qui sera surnommé plus tard: "Ombre-du-rat". En effet, les Ceyatatars vouaient une sorte de cultes envers les petits rongeurs notamment grâce à leur capacité à transmettre la Peste très rapidement à tout ceux n'appartenant pas à la Trinité Daedrique. C'est ainsi que les bosmers tribaux procédèrent.

Toujours pendant la nuit, celle qui suivit le grand incendie du camp d'Hauteroche, les Ceyatatars rassemblèrent plusieurs cages de rats et les laissèrent se déferler sur le campement de l'Alliance.

Au loin et du haut de sa tour, l'un des gardes ne pu qu'entrevoir une masse sombre s'approcher.

"On aurait cru voir les ténèbres de l'Oblivion s'abattre sur nous !" A-t-il déclarer à ses supérieurs. Les rats réussirent à travers les défenses et à contaminer plusieurs personnes qui sombrèrent quelques minutes après avoir subi une morsure. Des minutes plus tard, ils se relevèrent. Leur peau était flasque, leur regard vide et leurs intentions semblaient être devenues terrifiantes. Les Pestiférés étaient de retour...Heureusement, il y avait un grand nombre de militaires sur les lieux...

Mais, la décision de comment gérer cette invasion de rats et le retour de la Peste, était en réalité bien plus complexe qu'elle en avait l'air. Il fallait à tout prix agir...ou alors...lentement les habitants de la délégation des nations confédérées sous la bannière de l'Alliance finiraient par sombrer dans les ténèbres...


En guise de signature, les Ceyatatars placèrent des totems dans la région...on pouvait y voir cloué le cadavre d'un rat en putréfaction dégageant une odeur immonde...

La purification de l'île avait commencée...par le sang, le feu et la maladie, l'île restera entre les griffes de la Trinité Daedrique, coûte que coûte, telle était la détermination des sombres adeptes daedriques peuplant l'île.

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Camille Lachance
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MessageSujet: Re: Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale -   Souveraineté et Colonialisme , l'extension territoriale - Icon_minitimeDim 28 Sep - 15:01


La vie au camp n'était pas aussi dur qu'avait imaginait Camille, elle pensait quelle aurait dû aider au taches ménagères et autres efforts pour le camp mais ce ne fut que peu le cas, seulement qu'elle devait entretenir sa tente, son petit espace et aider parfois à divers choses tels que cuisiner pour les troupes, recoudre quelques vêtements de légionnaires mais rien de très désagréable ou quelle jugé de basses besognes.
Camille et ses associés essayaient juste de bien se faire voir sans trop attiré l'attention sur eux.

Un beau matin L’annonceuse prit une initiative pour son groupe : elle à demanda la permission de visiter les environs pour repérer les meilleurs emplacement pour ses futures cépages et voir si les bois environnants étaient bien habités par des morceaux de viande sur pattes.
Le Prélat en charge des sorties du camp autorisa la petite bande à partir dans les environs avec d'autres paysans qui cherchait eux aussi à voir le terrain extérieur et cherchaient à prendre un bon bol d'air frais, 4 légionnaires accompagna les 10 colons à l’extérieur.

Le groupe devait longer la côte et traverser en partie une forêt pour atteindre les plaines cultivable de ce nouveau monde, L'annonceuse avait pris son arc et deux dagues bien aiguisée sous prétexte d'être bonne chasseuse et qui se révéla être vrai quand elle épingla 2 écureuils et 1 lapin, c 'était un maigre butin mais il est peu facile de chasser avec 4 sauvages en armures qui font autant de bruit d'une machine dwemer en activité.

Les terres cultivable près du campement n'était pas des plus propice pour la culture de vignes le vent froid et chargé de sel arrivant de la côte abîmerais les vignes Camille était pas pour autant déçu , cette balade lui avait permis de sortir un peu de l'oppression Impériale malgré les 4 gardes qui l'escortait mais cela n’était pas plus mal, sa faisait de la chair à canon sacrifiable en cas de danger.
Les paysans quand à eu étaient content les terres était vaste herbeuse fertile et surtout facilement cultivable, il y avait peu de cailloux dans le sol sûrement dû au fait que cette île est encore jeune comparait à Tamriel.

Mais ce qui aurait pus être qu'une simple balade en extérieur c'est transformé en histoire d'horreur et d'épouvante quand le groupe retraversa la forêt, l'un des colons avait un envie pressante de pisser car après avoir bu presque un demi litres de vin et avoir marchait pendant 1h30 il ne pouvait plus se retenir, alors le groupe continua d'avancer un peu pour lui laisser de l'intimité le long de son arbre …. grave erreur car après avoir fait 15 mètres un cria retentit dans leur dos tous accouru pour voir si le colon aller bien mais … il n'y avait plus rien mis à part un totem de bois gravé de symbole étranger et inconnu.
Même après des recherches dans la zone aucune trace de ce pauvre colon qui avait la vessie trop pleine... de plus la nuit commençaient à tombé le groupe devait tout bonnement rentrée sans lui.

Mais l'histoire aurait pus s’arrêter la .. juste un homme qui disparaît dans des bois inconnu mais le Nouveau Monde réserve encore de nombreuse surprise.
Le soir même pendant que le camp s'endormait tranquillement et que l'annonceuse et ses partisans priait discrètement dans leur tentes, les cors de guerre retentirent, les troupes s’affolaient, les cris des civils et les ordres des légionnaires tira le camp de son sommeil. La peste était revenu véhiculait par des gros rats mordant tout sur leur passage propageant la peste que tout le voulaient fuir.
L'annonceuse ne comptait pas se faire mordre ni elle ni ses acolytes elle prit donc les armes pour aider les légionnaires qui pour une fois faisait cause commune avec ses idéos : la survie avant tout.
La troupe d'assassins s'équipa rapidement d'arc et e lances récupéraient sur des râteliers non loin, les dague sont trop risquées contre des petites créature comme cela.

La seule vrai préoccupation des assassins était de défendre leur bien donc leurs tentes et l'entrepôt où était entreposé les vignes pour le nouveau domaine ainsi que les sac de graines et les autres vivres, la vie des légionnaires ou des colons les intéressé peu … malgré sa ils en sauveraient quelques uns d'un morsure potentiellement toxiques voir fatales.
Le groupe traverser le camp de part en part tels une ourse qui traverse un bois pour protéger ses petits, toutes la vermine qui se dressaient sur leurs passage finissaient avec une flèche dans le ventre ou un coup de lance bien placé voie même un coup de savate dans les cottes.
Pendant leur traversée les nihilistes purent voir quelques pestiférés se relevait des cendres de leur tentes brûlait par les braseros renversé, mais leur salut se dessina peu à peu, un cohorte de colons et de soldats se dirigeaient eux aussi vers les entrepôt et armurerie non loin le lieu idéal pour une armée de se rassemblait et de lancée une purification du camp et Camille comptait bien être du bon côté de la barrière pour une fois.
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