Voyage en terre promise.

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

Gôrok ayant franchit la frontière depuis quelque jours ils se trouvait aux alentours de Refuge, sur la route, il vit de nombreux orques enchainé, esclave...des brétons leur servant dans les mines,aux fermes, comme porteur. Lui voyageait le visage couvert, empruntant les sentiers plutôt que les grandes routes commerciale, il faisait des pause chassant son dîner, dormait dans des lieux reculées installant des pièges autour. Il échappait au contrôle se faisant passer pour un servant d'un seigneur locaux dont il avait vue le nom sur une pancarte ou en entendant des paysans parler. Seulement aux alentours de Refuge, il aperçu 4 mineurs orques enchainés, fouetté pour aller plus vite comme on fouette un animal, 3 brétons, 1 vieux et 2 jeunes certainement ses fils. Ils trainées leur misère, portés le malheur sur leur épaule, le visage figé sur une expression de funeste, leur corps et vivant mais eux sont morts, morts à l'intérieur, déambulant comme des coquilles vides, ne sentant plus les coups de fouet porté par les sadiques brétons. Sa Gôrok ne pouvait pas laisser une tel chose se passer, il attacha son cheval à un arbre, rattrapa les tyrans, les suivants jusqu'à une crevasse, lieux propice à une embuscade. Arrivé à la petite crevasse, les 2 jeunes était devant, le vieux aux fouet derrière, les orques aux milieux, Gôrok banda une flèche, attendit...attendit...et tira dans l’omoplate du persécuteur. Les 2 jeunes se retournèrent laissant apparaitre une flammèche dans leur mains, il fit tomber quelque cailloux dans le dos des jeunes, les faisant se retourner à nouveaux. Il décocha une nouvelle flèche se logeant dans l'épaule du vieux, une des enfant alla à ses côtés, l'autre gardés un oeil sur les esclave et sur les alentours, l'orque était invisible, se cachant derrière les rocher en surplomb, tel un chasseur chassant ses proies, ses proies prit au piège se débattant devant une mort certaine. L'un prenant soin de son père, l'autre en plein stress tourna le dos au chasseur, qui en profita, il le transperça d'une flèche en plein dos,l'autre pris de panique ne vit pas l'orque se ruer sur lui. Gôrok dévala d'une pente percutant le garçon avec son bouclier le propulsant contre les rochers, se tourna vers le père lui balançant un coup de pied, l'allongeant sur le dos et le transperça en plein cœur. Le jeune à moitié conscient, face contre terre, ne vit pas la lame se planter dans sa nuque, le dernier repoussé les orques s'en prenant à lui, les pauvres ne pouvait rien faire, pieds et poings liées, il gênées légèrement le brétons. Gôrok s'approcha de lui, le voyant arriver le jeune poussa les orques, se concentra pour faire apparaître une flamme, Gôrok courut vers lui, le magicien de fortune tendit sa main pour lancer son sort...sa main vola en l'air...tranché par la lame de Gôrok de justesse avant qu'il ne lance son sort. Le jeune hurlait de douleur, se tenant l'avant bras, le chasseur acheva sa proie, lui tranchant la gorge. Les prisonniers furent libéré, remerciant Gôrok.
"Merci frère nous te sont redevable, nous te devons la vie.
-Ce n'est rien, je ne peux laisser des frères être traités comme sa.
-Que faites vous seule ici, comment faite vous ?
-Je viens de Bordeciel, je viens rencontrer le patriarche ? auriez vous des informations sur la routes à emprunter pour aller en Orsinium et chez le patriarche.
-Le patriarche, entendu parlé mais ce n'est pas notre chef, dirige toi vers Abondance, à mi-lieux entre Refuge et Abondance, cherche des panneaux attention aux orque, fait gaffe là-bas les brétons son vraiment anti-orque, ne prenait pas les grandes routes de jours et ne parlait pas à la population.
-Et concernant le patriarche ?
-Ne criez pas que vous venez le voir, certain orque ne le reconnaisse pas comme chef, étant chacun indépendant, renseignez vous discrètement, si vous croisez ses guerriers ils se présenteront.
-Merci frère où allez vous maintenant ?
-Bonne questions, nous allons récupérer nos affaires chez nos maître, après nous verrons.
-Pourquoi pas allez à mon camp en Bordeciel, franchissez la frontière et dirigeait vous à Markath mon camp se trouve plus au sud,,il se nomme Dushnikh Yal dîtes mon nom et ils vous accueilleront.
-Dushnikh Yal, d'accord nous verrons bonne routes frère en espérant que tu atteigne ton but.

Les orques se séparent, Gôrok repartit chercher son cheval et partit sur la route. La nuit tombé il s'arrêta pas loin d'un petit hameau. Caché, il vit un orque enchainé tabassé par des brétons, 2 autre forcés à se battre, se faisant brûler les pieds si ils s'arrêtent . Tous les autres hommes les entourés riant du spectacle miteux, à la fin tous partirent se coucher, le brétons possédant les 2 orques se battant rentra chez lui paisiblement, content de lui, ouvrant un l'enclos des vaches pour faire dormir les orques, une main se plaça devant sa bouche, l'empêchant de crier et sentit une lame le transpercer, gloussant silencieusement, se vidant de sa force vitale, tomba à genoux puis s'écrasa le visage en plein dans les excréments de vaches, Gôrok libéra les orques, il entra avec eux dans la maison du tyrans, ligotant sa femme et ses enfants, les cachèrent dans un placard et le renversèrent, ils pillèrent les lieux ensemble et partirent ensemble. Les 2 orques décidèrent d'accompagner l'orque dans son voyage, ce n'étaient pas des guerriers du patriarche,mais ils lui devaient bien sa. Le trio prit la route de nuit s'éloignant de l'endroit aux maximum, Ormar est né chez les brétons et élevé avec eux, enfin avec leur animaux, il possède une haine énorme envers eux. Mogrul lui est un ancien légionnaire arrêté capturé en Enclume puis traversant tout le pays, vendu et revendus pour atterrir enfin ici, il est âgé mais pas totalement rouillé.

Ils vont tenter de rejoindre Orsinium en vie et libre ensemble, mais tout peux arriver encore, c'est maudit magicien très puissants valait mieux faire profile bas.

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Les orques marchaient dans les sentiers rocheux, évitant les grandes routes comme on leur avait dit précédemment, très utilisé de jours mais beaucoup moins de nuit. Cette nuit la il pleuvait, le trio avait préférer prendre une route plutôt qu'un sentier, ou il était compliqué de progresser. La route était calme, la pluie tombait, les orques marchaient en silence, attentif au moindre bruit...mais rien à part la pluie. Au loin ils aperçurent des lumières, ils sortirent de la route se cachant derrière des arbustes de part et d'autre de la route, la lumière forte ne venait pas d'un seul homme, elle se rapprochait s'intensifiant. C'était une patrouille brétones, le plus haut gradé devant, 5 autre qui suivait dont 3 avec une boule de lumière dans le creux de leur main, soudain le chef demanda l’arrêt.
"Stop ! ordonna l'homme.
-Qui y à t'il capitaine ?
-Il y à quelque chose... disait l'homme les yeux fermés, se concentrant. Sa pue...l'orque... il tourna la tête vers les 2 orques. La ! pointant son doigts vers eux.

Les gardes regardaient en direction de l'endroit indiqué, la pluie battait de plus en plus fort, les orques allez être découverts, il devait agir...Les gardes avaient le dos tourné à Gôrok cachait de l'autre côté, il profita de cette ouverture pour sortir et se rua sur un premier garde, lui tranchant la nuque, puis donna un coup d'estoc dans la gorge du plus proche s'étant retourné. Ormar et Mogrul sortirent à leur tour, Ormar chargea 2 garde, le bougre était costaud, il remplaçait les boeufs pour tirer la charue, Mogrul lui frappa du tranchant en oblique le garde face à lui, qui para son attaque mais l'orque enchaina avec un coup de poing plein face, puis l'entailla à l'abdomen, puis à la poitrine et enfin à l'épaule. Le pauvre se fit abréger ses souffrance par Gôrok le transperça dans le dos, les 2 orques se tournèrent vers le capitaine, le brétons planta Ormar en pleine poitrine, l'orque souffrait le martyre, mais il rassembla ses dernière force pour attraper la tête de son meurtrier et lui asséna un coup de poing énorme en plein visage. Mogrul voyant son partenaire s'écroulait, il rentra en rage chargeant les 2 gardes que son ami avait renversé, Gôrok se dirigea vers le capitaine, le brétons tenait son épée d'une main et de l'autre faisait apparaître de la glace. Le capitaine projeta un boule de glace sur Gôrok, la bloquant de son bouclier, la force de la boule fit reculer d'un pas l'orque, la glace explosant,elle dissimula l'attaqua vertical du capitaine. De justesse l'orsimer dévia le coup, le bréton frappa la poitrine de l'orque avec la paume glacé de sa main, il ressentit une étrange sensation dans son buste après ce coup, comme ralenti. Gôrok se baissa sur ses appuies, le bouclier en avant, soudain il se releva frappant avec, le coup de bouclier masqua un coup d'estoc bien préparé qui vint se planter dans l'épaule du capitaine. L'homme lança son bras en revers et toucha une nouvelle fois le buste de sa main glacé, il y mit de l'énergie, au contact de l'orque il y eu une explosion faisant reculer et mettre un genoux à terre à Gôrok. L'orsimer comme ralentit se reprit et envoya un coup d'épée, le bréton le bloqua mais son épaule le faisait souffrir, Gôrok repoussa l'homme avec son bouclier, il poursuivit par une attaqua à l'épée coupant le buste du capitaine. Essoufflé il jeta son bouclier dans le genoux du bréton, lui explosant au passage, un genoux à terre, Gôrok s'avança vers lui fatigué, lui coupa une partie de la tête. Exténué par les coups de glace qui ralentissait son souffle, il se tourna vers son compatriote au combat avec 1 garde, s'étant débarrassé de l'autre aux par avant. Malgré son âge c'était un ancien légionnaire, Mogrul s'amusait du jeune garde, parant ses coup, le tranchant à divers endroits, le frappant, voyant Gôrok en avoir fini avec le capitaine, il mit un terme à son combat, un coup de genoux dans l'abdomen puis lui trancha la tête. Les 2 orques fatigués du combat et triste de la mort de leur ami, fouillèrent les cadavres des brétons, prenant les chose utiles, traina le corps de Ormar, l'enterra en vitesse, ils ne pouvaient prendre leur temps, ils devaient quitter la zone au plus vite. Au bout d'une heure de marche, ils se cachèrent et se reposèrent jusqu'au levé du soleil. A l'aube, le duo désormais, reprenaient la route, ils trouvèrent un panneau "attention:vers le territoire des orques." ils prirent cette direction. Sur le sentier de plus en plus de marque montrant la présence d'orque, des mise en garde des hommes. Ils marchaient, apercevaient les montagnes de la Queue du Dragon, territoire des orque,presque arrivé à une pente rocailleuse, Mogrul me dit:
"Nous y sommes presque, escaladons cette pente et après nous croiserons plus de brétons, mais nous croiserons des orques barbares ou hostile envers le patriarche, ne vous fiez pas au 1er orque que l'on croisera et gardé l'oeil ouvert, ses montagnes son leur maison... conseilla le vieille orque.
-D'accord, au faite pourquoi m'avez vous suivie ? pourquoi ne pas avoir tenté votre chance ailleurs au lieux de risquer votre vie pour moi ?
-C'est simple, vous m'avez sauvé la vie, libéré de ma misère, de ma vie d'esclave, je vous dois donc la vie, je risquerai ma vie pour la votre, comme vous l'avez fait pour la mienne. Si après j'arrive à m'en sortir alors je verrai se que je ferai de ma vie.
-C'est honorable, je tâcherai à ce que vous ne mourrez pas.
-Alors je vous serrez encore plus redevable.

Les orques continuèrent à parler, tout en progressant dans les montagnes jusqu'à enfin être en Orsinium. Des montagnes à perte de vue, au pic rocheux, vallées profonde, de petit sentier entre les rochers menant on ne sait où, des fumées s'échappait au loin certainement des camp orque, mais appartenait il au patriarche. Pour le découvrir, les orques devront vérifier par eux même.

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