Rencontre Daedrique

Chanson pour le début du RP:

Il fut un temps, très lointain, remontant à mon enfance, où je voulais habiter dans les montagnes glacées de Bordeciel. Ces monts, si il est vrai qu'ils sont magnifique, sont bourré de danger.
Au son de cette chanson, dont le nom m'échappe, Malik, un allié de la Meute depuis plusieurs années, nous accueilles dans sa modeste ferme.
Sa femme est là, son fils aussi. Il nous conduit, mes compagnons et moi, vers une des dépendances qui sera notre foyer pour un peu plus d'une semaine.
Ugfridd nous a rapporter un chevreuil que nous avons dévoré. Ainsi repus, nous allâmes nous coucher.

(Fin de la chanson)

Aux petites heures du matin, Malik se trouve dans sa cour, le corps de son fils dans les bras. Kal et moi, nous courûmes vers lui. Il redressa la tête et nous dit qu'il était désolé, désolé de ne pas avoir pu nous prévenir mais qu'ils tenaient sa femme.
Une flèche se ficha dans mon mollet droit, m'empêchant de courir. Un homme, gigantesque, un vrai Titan tenais la femme de Malik par le cou. Il le lui brisa en une fraction de seconde.
Malik couru, sa dague à la main et il se fit projeter contre le mur de la dépendance par le Titan. Les autres arrivèrent, nous étions à cinq contre six. Les armures de ces hommes étaient de métal noir, tout comme leurs armes et leurs yeux, eux étaient, rouges comme des flammes.
Ugfridd brisa le crâne à deux de ces hommes, Jing-They, un argonien en gela un avant de le briser, Kal ficha une flèche dans la gorge pour un et dans l’œil pour l'autre tandis que Alet, lui, un rouge-garde, occupait le Titan.
Ugfridd lui brisa le genoux, Jing-They lui gela le bras, de sorte à ce qu'il ne puisse plus utiliser sa masse, Kal lui ficha une flèche dans le cou, de sorte qu'il commence à saigner et Alet, quand à lui, ouvrit le ventre à ce monstre dans la zone non protéger de son armure, de ce fait, il s’agenouilla.
Jing-They l'ancra au sol, j'allais l'achever quand Malik m'arrêta en criant. Il voulait que je lui laisse le soin de le tuer, je fus d'accord. Je demandais à cet homme ou chose ce pourquoi il avait fait ça, sa seule réponse fut:
-Puisse-tu souffrir pour l'éternité dans les flammes d'Oblivion...
Sur ces mots, Malik ficha sa lame dans l’œil du monstre. Le lendemain, il rejoint notre groupe et nous partîmes. Nous brulâmes la ferme avec les cadavres à l'intérieur. Je vis que sur l'armure du Titan figurait le sigle d'Oblivion. Sommes-nous chasser et par les impériaux et par les Daedras? Sont-ce des déments se croyant l'envoyer de je ne sais quel divinités belliqueuse? Je ne sais pas et je ne tiens pas à rester ici pour le découvrir.

Mes compagnons et moi nous sommes séparer après ces événements, ou plutôt, ce-fut moi qui leurs dit d'arrêter, risquer leurs vies pour ma quête de vengeances n'étaient point ce que je voulais.
Ugfridd fut le premier à m'insulter de tout les noms possibles, à me traiter de fou, à me dire que ce qui faisait notre force étaient le fait que l'on soit une famille.
Ils approuvèrent tous ce sermon. Ils finirent après trois jours d'intense débat par accepter. Je leur fit me faire une promesse, que si un jour, des entités daedriques apparaissaient et attaquaient Tamriel, nous nous réunirions à l'auberge de l'Hiver, une taverne dans les montagnes, tenue par le frère d'Alet.
Ils furent d'accord. Chacun partis retrouver sa chaumière et ils trouvèrent un travail, en plus de faire régner la justice en Bordeciel, quoique le pays le moins corrompus de Tamriel.
Pourtant, j'ai l'impression d'être suivi et observé par un allié. Et cette ombre noire dans le bois. Sûrement mon imagination... Changer d'identité n'as rien d'anodin, débarrassé de ma cape et de mon capuchon, je n'était plus qu'un simple impérial, j'étais devenus Arius Prindius, un chasseur dont le rêve était de devenir soldat, quitte à inventer quelque chose, autant inventer quelque chose qui tienne la route pour expliquer mes aptitudes à l'épée et à l'arc...

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