Après avoir traverser le désert Alik'r, en ayant fait beaucoup d'arrêt pour ne pas mourir desséché, bien sûr, moi et mes compagnons prirent congés de nos activités pendant un certain temps.
Nous dormîmes pendant au moins deux jours, exténuer par ce trajet dans le désert. Aussi, quand je fus réveiller, ça ne fut en aucun cas par un des membres de notre communauté mais quelqu'un dont j'ignorais jusqu'au nom et aux intentions.
Je me réveillais ainsi, dans un noir d'encre, mes mains, tout comme mes pieds, entravés. J'eus tôt fait de me débattre, me libéré de je ne sais quelles cordes ou chaînes, mais, comme seule réponse à cette acte, un coup de genoux placés directement dans mon entrejambe me fis tressaillir et pousser un cris de douleur.
J'entendis la voix de deux personnes, elles disaient ceci:
-Arbok, calme toi, nous ne tireront point d'aide de cet étranger si tu le casse, voyons.
-Il n'a qu'a ce montrer plus docile, ce chien d'impérial.
-Ce chien d'impérial, comme tu dis si bien, pourrait nous aider dans notre mission, comprends-tu?
-Je comprends très bien mais le fait est que cette chose ne mérite pas de vivre.
-Tu reviens encore avec ta rancœur envers les impériaux...
Ils continuèrent ainsi un moment, jusqu’à ce que Arbok (un orque), reçoive l’ordre par son supérieur d'enlever le sac en toile se trouvant sur ma tête.
Dés qu'il l’eut en levé, je lui donnais un coup de tête qui eu pour effet de le mettre à terre. Son supérieur vint me délier mains et pieds et retint l'orque qui était dans une rage folle.
Le supérieur de l'orque, à qui je m’empressai de demander le nom (il s'appelait Akhim, il avait la trentaine, une tenue de voyageur du désert et, à son teint de peau, je pus deviner qu'il s’agissait d'un rouge-garde), m'expliqua qu'il pensait pouvoir obtenir mon aide pour une rébellion dans un village de HauteRoche. Il s'excusa du traitement que Arbok m'avait fait subir, je lui répondis qu'il n'y avait pas de mal, que par les temps qui courent, il valait mieux être méfiant.
Il me dit qu'un homme, du nom de Arianis Rakis, avait pris le contrôle de ce village en vrai tyran.
Ce village, à l'ouest de HauteRoche, près de la côte, ne recevait jamais la visite d'un haut dignitaire de l'Empire, ainsi, le tyran n'était point inquiété.
Je préparais cette rébellion avec Akhim, Arbok et tout les gens de leur village. Le jour J, ils allaient descendre dans les rues, en armes, et tenir tête aux forces impériales présente.
Ce jour là, j'étais sur les toits, je les vis fondre sur les forces impériales, non préparé à une attaque pareille, cela eu le mérite de me faire esquisser un sourire.
Je vis des impériaux courir dans tout sens, mis en déroute par la première ligne, essentiellement composé d'orques, de très bon combattant.
Cette diversion gigantesque me permis d'entrer dans la bâtisse du commandant Arianis, il restait seulement deux gardes pour le protéger.
J'eus tôt fait de trancher la gorge d'un, que l'autre me fonçait dessus, je lui brisais la rotule d'un coup de pommeau et, ensuite, l'égorgeait.
Le commandant, courant vers moi, se pris les pieds dans le tapis kahjiit se trouvant par terre.
Cela me fis rire, je jetais son arme loin de lui et l’emmenait sur la place publique où il allait être exécuter.
Je tendis mon épée à Akhim qui lui même la passait à Arbok. Il préparât son coup mais, se retournant vers moi, il dit ces paroles:
-Je ne mérite point d’exécuter celui sur qui je n'ai eu aucune incidence pour l'arrêter, aussi, je te rends ton glaive, puisse-tu le tuer de ta main et de ta lame.
Je le remerciait, je levais la lame, elle s’apprêtait à fendre l'air et trancher la gorge de cet homme quand soudain, il me dit ceci:
-Les portes d'Oblivion s'ouvrent de plus en plus souvent, prends garde à ne pas tuer trop de disciple des Daedra, tels que moi. Au sinon, il te poursuivront pendant des siècles pour...
Je lui ai tranché la tête avant qu'il n'aie finit et je terminais par cette phrase:
-Tes dieux faux, mauvais et cupides ne peuvent rien contre les gens du peuple de Tamriel qui, baigné dans la lumière et aidé par les divins, vaincront et survivront.
Il y eu une salve d'applaudissement puis mes compagnons étaient là eux aussi, ils applaudirent aussi et vinrent me féliciter.
Arbok, Akhim, les habitants du village, la Meute et moi même, fîmes une immense fête.
Akhim fut désigner comme chef du village, Arbok chef de la garde et le peuple me promit une place de dignitaire. Je refusais et leur dit que l'ont se reverrait un jour.
Le village avait perdu une maison et une grange, brûlées par des soldats impériaux en fuite, les gens croyaient que les résidents de la maisons étaient morts dans l'incendie.
Je vus un miracle, ou plutôt, le mal. Un jeune garçon d'une dizaine d'année sortit des cendres, il avait une lueur rouge dans les yeux que je fus le seul à voir.
Je ne voulais pas gâcher leur plaisir, aussi, mes amis et moi même, nous partîmes dans la nuit, sans aucun bruit...
Sam 7 Juin - 7:31