Le renouveau des Orques.

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

Orsinium...se trouvant dans la montagne de la Queue du Dragon, s'étendant à peu près entre Refuge et Abondance, séparant Haute-Roche de L'enclume et non loin de Bordeciel. La région immense, n'était que montagne, les peux de sentiers étaient le travail des orques cassant des rochers pour faire une sorte de route. Comment vivre dans c'est montagne, quasiment aucun bois, de rare carré d'herbe. Il n'y avait que des rochers, des rochers et encore des rochers... Loin derrière les sommets abruptes, les 2 orques apercevaient des traits de fumées, sans doute des camps orques, mais sont ils allié ou bien ennemi... Les orques sont fiers et vivent en tribu, chacune à son chef, cependant certains essaye de s'allier pour refonder L'Orsinium comme l'avait fait Torug gro-Igron où Gortwog gro-Nagorm. Aujourd'hui c'est Burgur gro-Azurg qui tente de rallier les orques, mais les temps sont durs, une maladie ravage Tamriel et les tensions avec Lenclume et Haute-Roche étaient à leur paroxysme, allant parfois jusqu'à des raids d'extrémistes, quoique les gouvernements des deux royaumes les désapprouvent. Les massacrent encore rare, mais dévastateurs laissaient certains chefs orques sceptiques quant à la légitimité du patriarche. Les deux orques se déplaçaient prudemment sur les sentier au bord des vallées abrupte et rocailleuse, en contrebas, ils virent une petite mine, avec deux gardiens devant. Mogrul les observa, ils portaient de légère peinture de guerre, celle des guerriers mais pas de chose extravagante les faisant appartenir à un clan extrémiste voire cannibale . Ils décidèrent d'aller leur parler avec prudence, à l'approche des deux orques, les gardiens attrapèrent leur armes et l'un d'eux demanda:
"Qui êtes vous et que voulez vous ?'' questionna l'un d'eux.
-Je suis Gôrok chef de Dushnik Yal en Bordeciel'' dit Gôrok .
-Ahah des orques de Bordeciel... Des lâches fuyant les brétons et abandonnant Orsinium ! que faite vous ici ? vous avez enfin retrouvé du courage !'' se moqua l'autre.
Cette réflexion énerva fortement Gôrok qui plaça sa main sur le pommeau de l'épée.Voyant sa Mogrul prit la parole.
-Je suis Mogrul, j'étais prisonnier des brétons et cet orque de Bordeciel ma libéré ainsi qu'un autre de nos frère.'' dit Mogrul.
-Vous avez tué des brétons ? Vous méritez peut-être la vie que Malakath vous a donné, finalement. Mais que faites vous la ?
-Euh...il me ramène dans mon camp...il est là en pèlerinage dans notre pays. '' inventa Mogrul.
-Oui mon père vivait ici il est mort lors d'un raid Rougegarde. Après ça, ma mère est partie en Bordeciel.
-Triste histoire.
-Auriez vous des renseignement sur la régions les endroits à éviter ? Le camp du patriarche est il proche ?
-Le camp se trouve loin et vous allez devoir traversé le territoire d'Osgiliath gro Uruk et croyez personne ne veut avoir à faire à lui et à ses orques.
-Et pourquoi ? Qu'ont-ils de spéciale ?
-Uruk son père est devenue fou le jours où presque toute sa tribu fut brûlée par des brétons. Il est entré dans une folie meurtrière et avec le reste des survivants, ils ont traqués les brétons et les ont mangés. Ensuite il a contesté le patriarche et a formé une tribu adverse où ils pratiquent le cannibalisme et d'autre cruautés. Et au vu du nombre d'orque, il ne s'en prive pas...
-Pouvons nous éviter l'endroit ?
-Oui mais il faut repartir sur les routes d'Hauteroche pour contourner et enfin retourner vers les montagnes, ça vous prendrez des jours...
-D'accord merci au revoir.
-Bon courage dans votre voyage, orque de Bodeciel.
-Merci.

Les orques partirent en direction du camp du patriarche, traversant le territoire d'Osgiliath...Au bout de quelque temps de marche, un pic en bois avec de nombreux crânes et ossements était planté devant eux, la marque qu'il était sur la bonne voie même si elle était risqué. Le duo s'enfonça dans le territoire, les alentours était quasiment les même qu'ailleurs, seulement de nombreux ossement jonché les sentiers. Marchant à travers les sentiers et les rochers, la nuit tomba, ils se reposèrent jusqu'à l'aube, se déplacer dans ses montagnes était fatiguant et le manque d'animaux à chassait les forcer à puiser dans les derniers vivres restant. A l'aube ils repartirent vers leur destination, soudain ils aperçurent un point d'eau, ils se réhydratèrent mais quelque chose les observaient, cependant personne se manifesta, ils remplirent leur gourdes et repartirent. Arrivé vers un sentiers plus large, la présence se manifesta à nouveau, puis soudain, une flèche vint se planter devant eux, puis quatre orques les encerclèrent , recouvert de peinture blanche sur tous le corps. Ça devait être des hommes d'Osgiliath, aucun n'avait l'apparence d'un chef, ils portait des ossements en guise de protections mais brandissaient des armes d'orichalque.
"Vous êtes différents... dit l'un des sauvages.
-En quoi ? répondit Gôrok dégainant son épée.
-Vous ne marchez pas comme eux, vous ne sentez pas comme eux, vous n'avez pas leur regards.
-De qui ? qu'es ce que vous dites ?
-Vous n'avez pas peur de nous, ne nous craignez pas, pas comme les orques de la région, qui êtes vous ?
-Je viens de Bordeciel et lui d'Haute-Roche, nous voyageons.
-Où ? Vers là où se trouve le camp du patriarche, notre ennemi... Êtes vous des leurs ?
-Non répondit Mogrul il me ramène à mon camp à l'extrême nord, non loin de Bordeciel, c'est mon frère il m'a libéré des brétons. dit Mogrul stressé, reprenant sa précédente histoire.
-Voila c'est ça cette peur dont je vous parle...MENTEURS !! que faites vous ici ? Vous venez voire le patriarche ! Alors vous êtes nos ennemis.
- Vous aussi alors !! lui répondit-il.

Gôrok para dévia le coup du premier orque avec son épée, puis un autre du second, grace à un revers de sa lame, puis lui donna un coup de bouclier, se retourna, se baissa, esquivant une attaque horizontal et planta le premier orque. Il le martela de coup de bouclier et le jeta au sol, le second s'avança vers lui, para le premier coup de son bouclier, puis contre-attaqua en tranchant la main de son adversaire puis sa gorge. Il se retourna vers Mogrul en mauvaise posture, il en avait blessé un et s'occupait de l'autre, mais le blessé se releva et ouvrit une plaie dans tout le dos de Mogrul. Il repoussa l'orque face à lui, mais celui ci le blessa à l'abdomen, faisant tomber Mogrul au sol. Gôrok vint au secours de son acolyte, transperça un sauvage dans le dos, le soulevant et l'écrasa au sol, le blessé attaqua Gôrok qui bloqua son coup et lui planta son épée dans son genoux, le désarma, attrapa une main et lui coupa tous les doigts puis à l'autre aussi. Il jeta l'orque sans doigt, décapita ses amis et lui jeta leur tête en disant de rapporter ça à son chef. L'orque souffreteux parti en boitant, ensanglanté, les têtes de ses compagnons avec lui, Gôrok prit des nouvelles de Mogrul:
"Mogrul sa va ?
-J'ai connue mieux... dit il en crachant un peu de sang.Je sais pas si je vais arriver au camp.
-Tais toi ! Gôrok arracha des morceaux de tissu et y appliqua un baume qu'il avait dans son sac, avant d'en couvrir les blessures de Mogrul. Puis il le releva et l'aida à continuer.

Ils devaient se dépêcher avant qu'ils ne tombent sur d'autre orques d'Osgiliath, Mogrul devrait tenir bon, même si ses blessures étaient récentes et le faisaient souffrir. Ils marchèrent jusqu'à tard le soir pour se rapprocher au maximum du territoire du patriarche.Au petit matin, ils repartirent sur la route, Mogrul était toujours souffrant.

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Gôrok marchait, aidant Mogrul à marcher, les blessures de l'orque le faisait souffrir, mais il en fallait plus pour mettre un orque à terre. A travers les sentiers rocailleux, les orques avançaient doucement, mais le danger les guettait, les sauvages pouvait surgir à tout moment, il devait quitter leur territoire au plus vite. Ils devaient être non loin d'un grand camp, une épaisse fumée dépassé du sommet au loin, mais dans la montagne les distances ne sont pas les même que sur plaine, à tous moment peu s'imposer un détour de plusieurs centaine de mètre. Ils virent un panneau avec marqué dessus:

Orsinium
Dirigé par le patriarche
Burgur gro-Azurg

Enfin le voyage semblait fini, seulement un bruit de rocher résonant dans la montagne les coupèrent, ils se retournèrent et virent les orques à plus de 100m. Le duo se mit à courir, Mogrul ne pouvait pas aller bien vite mais Gôrok l'aidait, l'entrainant dans sa course, les sauvages gagnaient du terrains à chaque pas, se rapprochaient, soudain à quelque dizaine de mètre se trouvait un pont suspendue. A seulement 2 mètre du pond, une flèche vint se planter dans la cuisse de Mogrul, il tomba poussant Gôrok sur le pont, Gôrok peinait à s'arrêter sur le pont instable, puis il se retourna vers Mogrul. Le blessé avait un genoux à terre, s'aidant de son épée pour resté debout, Gôrok hurlait:
"Relève toi !! vite !! ils arrivent !!
-Non c'est fini pour moi !!
-Tais toi !! je viens te chercher !!

Gôrok commença à avancer mais la Mogrul, coupa une des cordes tenant le pont, le rendant complétement instable et fragile.
"Dégage !! c'est fini pour moi !! je te sauve comme tu m'a sauvé ! Pars mon frère accomplir ton destin !"
Le pont commencé à craquer, Gôrok couru, l'autre cordes lâcha, sentant le pont tomber sous ses pied, il sauta pour gagner l'autre côté du pont.Il regarda en direction de Mogrul, blessé mais toujours debout, il para un premier coup, entailla l'abdomen d'un autre puis se fit transpercer en plein ventre.Mogrul tomba à genoux, le sauvage l'attrapa par le sommet du crâne et le décapita, l'orque exposait la tête ensanglanté du vaillant orque, criant fièrement , se frappant le torse, puis il poussa le cadavre de Mogrul dans le ravin, et balança la tête du défunt vers Gôrok. Choqué l'orque attrapa la tête de son ami, ses veines sortirent, ses muscles se contractèrent, sa mâchoire se serra, ses yeux se remplirent de rage...Il souleva la tête, tremblant de colère, lançant un regard noire envers les tueurs... rugit tel un lion enragé, menaça les sauvages des pires atrocités. Les sauvages si fier furent calmé, regardant sans rien dire l'orque enragé se trouvant face à eux, ses cries résonnèrent dans toute la montagne...les sauvages partirent en silence à leur camps, Gôrok lui resta sur place toujours sous le coup de la colère. Quelque instant plus tard, 3 orques débarquèrent, surpris voyant l'orque tenant une tête:
"Toi la qu'a tu fais ? qui est tu ?
-Gôrok...Je suis Gôrok...ils l'ont tué...Ils l'ont tué !! cria l'orque soudainement
-Qui ? tu est tout seul la ?
-Les orque d'Osgiliath !! il c'est sacrifié pour me sauver! et l'ont exécuté devant moi !
-Désolé, ses orques sont vraiment des monstres, vous êtes en vie vous au moins frère. D'où venez vous ?
-Bordeciel, du camp de Dushnikh Yal...Je viens voire le patriarche il a été prévenu de mon arrivé normalement.
-On vas vous y amener alors nous verrons là-bas.
-D'accord...

Les orques du patriarche accompagnèrent Gôrok jusqu'au camp du patriarche, arrivé sur place, on comprenait pourquoi la fumé était si grande, le camp était immense, la longère principale était immense, des cabanes de partout, des routes menant à de nombreuse mine, la chaleur du brasier des forges se sentait, le bruit des marteaux frappant le fer sur l'enclume résonné fort bien dans la montagne. Les palissades épaisse protégé le camp, des gardes portant les fameuses armure orque, réputé pour le résistance incroyable et aussi leur lourdeur. En entrant dans le camp, les autres orques ne faisaient pas attention à lui, ce n'étaient qu'un orque de plus, rien d'exceptionnel, même sa peau noire ne les étonnait pas, beaucoup travaillant dans les mines, ils étaient recouvert de poussière noire rendant leur peau sombre. L'orque à la peau de charbon attendait le fameux patriarche patiemment, ils allaient ensemble parler de l'avenir des orques.

Le Seigneur de la Damnation Messages : 438 Date d'inscription : 03/03/2014

Fondateur incarnant: Burgur gro-Azurg
Patriarche d'Orsinium
Le renouveau des Orques. Orc%20armor

Au coeur des montagnes d'Hauteroche se dressait une nation puissante. Orsinium, cette cité-état légendaire qui a maintes fois été détruite mais à toujours été reconstruite grâce à la détermination du peuple orque.

Burgur s'était longtemps battu pour protéger ses semblables, et il n'était pas prêt à renoncer. Il lui restait encore une bonne dizaine d'années avant de laisser place à la génération future...et il ne voulait pas quitter ce monde sans avoir au moins marcher à nouveau sur les terres des Hommes Sombres, les Rougegardes ou même, bien-sûr, sur celle des Brétons. Ces deux races rivales contre les Orsimers n'avaient pas hésiter à s'allier pour "les exterminer"...le Patriarche Orque ressentait donc une certaine...haine envers ces deux peuples. Et avec la chute de l'Ancien Empire, Orsinium ne comptait plus parmi les priorités de l'Empire, les Orques dans la Légion Impériale se faisait plus rare. Mais, ce n'était pas une si mauvaise chose que ça car...tout les guerriers ne combattant par pour Cyrodiil...combattaient désormais pour Orsinium.

Burgur était installé sur un large trône en pierre brute, les jambes grossièrement écartées et les bras déposés sur les accoudoirs.Il était vêtu d'une armure Orque traditionnelle, plus résistante et esthétique étant donné son grade au sein de la puissante confédération Orsimer. L'Orque semblait las, de plus, on lui avait rapporté qu'il y avait eu des affrontements non loin d'Orsinium. L'un de ses sujets, vêtu d'habits nobles et dont la barbe parfaitement entretenue prouvait sa sagesse et sa civilité vint lui apporter une missive de la part d'une haute personnalitée argonienne, un certains Libère-Les-Esclaves, dans leur langue Sparthakuus. Burgur fronça les sourciles et se demanda bien ce qu'un Shaxeel pouvait lui vouloir. Il lu doucement le contenu de la lettre, un sourire se dessinait peu à peu sur son visage verdâtre.

Missive de Sparthakuus:

Rassembler les tribus Orques et former une alliance ethnique...Burgur aimait cette idée...mais comment procéder ? Beaucoup de petites tribus refusaient l'autorité d'Orsinium, ils n'obéissaient qu'à leur chef sans prendre en considération que les Brétons ou même les Rougegardes agissaient en divisant pour mieux régner. Cependant, ce jour-là...Le Patriarche fit une rencontre véritablement historique, même si la situation en elle même n'en avait pas l'air.

Alors qu'il rédigeait une réponse à Sparthakuus, un garde pénétrait plutôt rapidement dans la salle du trône, s'agenouillant avec respect et obéissance, il se mit ensuite à relater que le chef de Dushnik Yal en Bordeciel était arrivé dans la capitale à l'instant. Burgur se leva lourdement de son siège massif et se dirigea vers la sortie du "Palais", si l'on pouvait appelé ça comme ça...il s'agissait plus d'une grande forteresse mêlant l'architecture orque aux entrailles même des montagnes.

Lorsqu'il sortit de celui-ci, il remarqua la vivacité du camp titanesque, telle des insectes, les Orsimers se mettaient à l'oeuvre pour augmenter leurs industries, des fumées noirs de charbons s'élevaient dans les cieux rejoignant le redoutable Malacath qui veillait sur eux. Les bannières Orques ornaient les batiments importants, on pouvait y croiser des Orsimers de toute classe, du simple mineur au riche diplomate, tous s'entendaient avec une sympathie déconcertante pour les autres peuples. Une solidarité parfaite au sein de la population toute entière.

Alors qu'il descendait des marches d'escalier taillés à même le sol, le Patriarche vit au loin son congénère. Il fut assez surpris par sa couleur de peau, aussi sombre que celle d'un Dumner voir carrément de celle d'un Rougegarde, cependant, son visage était bien celui d'un Orque, massif, rigoureux et qui devait être un redoutable adversaire vit sa corpulence. Cependant, Burgur s'était demandé si c'était bel et bien sa couleur de peau ou pas. Mais, ne préférait pas aborder le sujet directement, il ne valait mieux pas irriter ce probable nouvel allié..

Burgur lui adressa une brève salutation:

- Salut à toi, chef de guerre et grand guerrier de Dushnik Yal. Puisse Malacath veillez sur les tiens, et briller sur ce jour, car moi, Burgur gro-Azurg, Patriarche d'Orsinium t'accueille parmi les siens.

Burgur avait rapidement mené son nouvel invité à l'intérieur de son bastion, il y avait une immense table décorée par une foule de nourritures, allant de la viande obtenue par la chasse aux meilleurs légumes de la Cité-Etat. Tout cela alimenter par un feu rougeoyant éclairant la majorité de la salle.

Le chef d'Orsinium s'installa aux cotés de son invité et lui annonça d'une voix grave:

-Alors, nous pouvons enfin parler, que veux-tu ? Peu de chef s'aventure en dehors leur forteresse, je suppose que c'est important...

Les paroles étaient simplistes mais efficaces, Burgur n'allait presque jamais par quatre chemins, il était direct et efficace, étant davantage un guerrier qu'un véritable politicien. Il avait connu la rudesse des batailles lors de raids orques contre ses ennemis...

Il dégusta une large pièce de viande en patientant la réponse du chef de Dushnik Yal...

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

Le camp était incroyablement organisé, le respect y était fortement présent, même le simple mineur reçoit un salut amicale du haut placé. L'architecture, les bannières fièrement placé sur les bâtiments et son emplacement dans le coeur même des montagnes pouvait intimider n'importe qu'elle personne, mais Gôrok lui se sentait à l'aise, il était admiratif de la grandeur et de l'organisation du camp. Puis en haut des escaliers, le patriarche se présenta, imposant le respect, portant une massive armure orque orné de motif, le patriarche s'avança vers lui, le saluant toujours avec respect et aucun sentiment de supériorité. Le grand chef amena l'orque noire à l'intérieur pour mieux parler, et pour témoigner encore une fois de sa grande hospitalité , à l'intérieur une grande table avec un énorme buffet et un grand feu attendait les 2 chefs. Une fois assit, le patriarche invita Gôrok à manger et lui demanda:

-Alors, nous pouvons enfin parler, que veux-tu ? Peu de chef s'aventure en dehors leur forteresse, je suppose que c'est important...

-Ce que je veux, je veux croire aux peuple orque, je veux fonder une bonne fois pour toute Orsinium et donner le respect qu'il se doit aux orque.

dit l'orque marquant une pose, le patriarche écouté attentivement et il ne semblait pas contre cette idée.

-Pour sa je pense qu'il faut rallier les orques, on ne peut rester comme sa en se battant entre nous et contre les raides des autres races. Il faut quelque chose qui les réunissent, quelque chose qui leur donne confiance en vous. On ne peut pas tous les rallier par la force, sa créerai plus de problème. Avez vous une idée ?

Demanda l'orque, même si il avait déjà une petite idée, il ne voulait pas trop s'imposer devant le Patriarche.

Le Seigneur de la Damnation Messages : 438 Date d'inscription : 03/03/2014

Fondateur incarnant: Burgur gro-Azurg
Patriarche d'Orsinium
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-Pour sa je pense qu'il faut rallier les orques, on ne peut rester comme sa en se battant entre nous et contre les raides des autres races. Il faut quelque chose qui les réunissent, quelque chose qui leur donne confiance en vous. On ne peut pas tous les rallier par la force, sa créerai plus de problème. Avez vous une idée ?

Décidément, voilà qui était étrange...les choix proposés par différentes personnalités semblaient concordé...cette idée de base de réunir les tribus Orques, cela ne pouvait être qu'un signe. Le symbole d'un nouvel âge pour les Orques, une renaissance du peuple Orsimer face aux vils brétons et à ces fourbes de Rougegardes...

Les feux flambaient dans la salle, barbouillant les murs, les dalles et le plafond de rougeoiements sinistres, mais la chaleur restait elle, la bienvenue. Burgur se leva, saisissant une branche qui traînait sur le bord de l'âtre et profita d'un long moment de réflexion retournant les braises du feu à sa guise laissant s'échapper quelques étincelles par-ci, par-là. Une flamme se raviva alors sur les bords d'une bûche carbonisé, elle se raviva comme l'esprit autrefois belliqueux du Patriarche d'Orsinium qui rétorqua à son invité:

-Je lis en tes yeux que tu possèdes une solution à cette question, n'est-ce pas ? Oui, réunir les tribus orques seraient un grand acte de sagesse de la part de notre peuple. Il faut ressouder l'ancien Royaume d'Orsinium, montrer aux autres races que nous ne sommes pas de vulgaires bêtes sauvages, que nous pouvons penser, réfléchir et s'allier en bon stratège. Nous formerons avec l'aide des différents chef, une armée unique à notre peuple pour ainsi favoriser notre puissance...cependant, pour cela, il ne faut bel et bien ce symbole de ralliement...

Burgur patienta la réponse de...mais oui effectivement, il ne connaissait pas son nom...et ce problème allait être rapidement résolu:

-Mais, avant...quel est ton nom ? chef Dushnik Yal, je connaissais les exploits de ton prédécesseur, mais, j'ignorais qu'il possédait un successeur aussi prometteur et ambitieux, dont la volonté l'aurait emmené jusqu'à mon domaine, c'est très courageux de ta part. J'aimerais que tu me parles de cet incident sur la route, non loin de la ville. Il paraît qu'il y a eu des hostilités entre Orsimers, voilà qui est facheux...que s'est t-il passé ?

Burgur repensa alors à sa prise de position à Orsinium, qui avait provoqué le départ de grandes familles Orques revendiquant le pouvoir et constituant leur propre tribu. Cependant, aucune n'avait réussit à surpasser Orsnium. Mais, il chassa ses souvenirs de son esprit et se concentra, à nouveau, sur la réponse du chef Orque.

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

Le patriarche se leva pour raviver le feu, soudain une flamme se rallumant d'une bûche, ralluma celle de ses yeux. Il se retourna vers Gôrok:

-Je lis en tes yeux que tu possèdes une solution à cette question, n'est-ce pas ? Oui, réunir les tribus orques seraient un grand acte de sagesse de la part de notre peuple. Il faut ressouder l'ancien Royaume d'Orsinium, montrer aux autres races que nous ne sommes pas de vulgaires bêtes sauvages, que nous pouvons penser, réfléchir et s'allier en bon stratège. Nous formerons avec l'aide des différents chef, une armée unique à notre peuple pour ainsi favoriser notre puissance...cependant, pour cela, il ne faut bel et bien ce symbole de ralliement...

Fit une pause réfléchissant, puis enchaina en demandant:

-Mais, avant...quel est ton nom ? chef Dushnik Yal, je connaissais les exploits de ton prédécesseur, mais, j'ignorais qu'il possédait un successeur aussi prometteur et ambitieux, dont la volonté l'aurait emmené jusqu'à mon domaine, c'est très courageux de ta part. J'aimerais que tu me parles de cet incident sur la route, non loin de la ville. Il paraît qu'il y a eu des hostilités entre Orsimers, voilà qui est facheux...que s'est t-il passé ?

Gôrok se leva de la table, allant lui aussi vers le feu, il allait répondre au question du patriarche:

-Je suis Gôrok Lok'Nolosh, mon nom n'est pas conforme au vrai orsimer mais sa c'est une autre histoire, disons que je n'est pas toujours vécu dans un camp orsimer. Pour mon prédécesseur, je pense pas que se soit celui que j'ai du affronté en duel, lui était lâche et fourbe comme un serpent, préférant marchander avec des parjures et autre bandit au lieu d'aider son peuple !...Que s'est t'il passé sur la route...avec mon acolyte Mogrul, orque que j'avais libéré des jougs de son tyran Bréton ainsi qu'un autre Ormar, ce dernier est mort lors d'un combat contre une patrouille brétonne. Mogrul est moi avons continuer vers Orsinium ensemble, sur la route des orques nous ont averti du camp d'un certain Osgiliath. Ses barbares nous sont tombé dessus une première fois nous les avons combattus mais Mogrul a été blessé et idiot que je suis j'en est laissé un vivant ! Pour qu'il aille apporté un message à son chef...seulement nous avancions lentement et ils nous ont rattrapé, vers un pont Mogrul fut touché, il se sacrifia me forçant à traversé et coupa le pont. Ses chiens lui ont tranché la tête et me l'ont jeté !!

Gôrok était énervé se rappelant ses mauvais moment, si il avait tué cette orque, Mogrul serait toujours en vie. Gôrok changea de sujet en répondant à la question du ralliement des orques...du symbole:

-Le symbole...oui j'en est entendu parlé...comme beaucoup d'orque en Bordeciel, l'histoire raconte que au temps du Dovakhiin, une tribut orque maudite fit aidé par une personne pour tuer le chef des géant qui arrêté pas de les attaqués, le géant tué, Malacath en personne leur parla et à la place du marteau de guerre cérémonieux, le transforma en...Volendrung... le marteau de guerre bénis par Malacath en personne...un artefact des plus puissants, puisant la vigueur de ses adversaires à chaque coup dévastateur porté, pour un marteau de guerre, il se manie telle un espadon. Cette arme provenant de Malacath rassemblera les orques, montrant la légitimité du prince Daedra, personne voudra avoir à faire à cette arme, tous nous rejoindrons et une fois à nos côté et l'Orsinium reconstruis...Les orques ne craindrons plus les autres races !! Nous ne serons plus jamais pris à la légère et tous craindrons les guerriers orques !!

Gôrok s'emporta, il sentit une force en lui naitre à chaque mot, cependant il resté une chose que lui même ne savait pas sur Volendrung:

-Par contre...je n'est aucune idée d'où il peut être...la shaman de mon camp ne m'en à pas dit plus, elle ma envoyé ici pour parlé avec la shaman de ce camp...pense tu qu'elle pourrais en savoir quelque chose ? Sinon nous devrons le demander à Malacath en personne...la première fois qu'il ma parlé, il m'a juste dit que j'étais une sorte de champion...

Gôrok avait longuement parlé, le patriarche l'écoutait attentivement mais après cette dernière prise de parole c'était au patriarche de répondre à ses questions.

Le Seigneur de la Damnation Messages : 438 Date d'inscription : 03/03/2014

Fondateur incarnant: Burgur gro-Azurg
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Burgur connaissait l'histoire de Volendrung, ce puissant marteau d'origine daedrique qui avait très longtemps été brandit par des héros du peuple Orque. De par son ambition personnel, obtenir une telle arme était un atout irréfutable, mais aussi pour rassembler les Orsimers, ce marteau se faisait objet de convoitise. En ce qui concernait les Orques d'Osgiliath, il s'agissait d'une tribu très puissante capable de rivaliser avec Orsinium et il allait avoir deux options. Se joindre aux autres, ou mourir...Ils ne combattront pas face à la volonté de Malacath...ça c'était une certitude.

Le Patriarche finit par accorder une réponse:

-Gôrok, je suis tout d'abord, désolé pour ton défunt Mogrul, puisses son âme rejoindre Malacath. Mon shaman doit effectivement connaître ce genre de choses. Je vais le convoquer sans plus tarder.

Burgur prit une pause et hurla d'une voix ferme:

-Gardes, amenez-moi, le Shaman Bolgur, j'ai une question à lui soumettre.

Les gardes en armure d'orchiliath s'exécutèrent sans plus tarder et une dizaine de minutes plus tard, le vieil orque était parmi le Patriarche et Gôrok. Bolgur entama une brève séance de courbette devant son souverain, s'inclinant presque jusqu'au sol, d'une manière lente et monotone sans plus de précipitations. Il finit par lâcher ces quelques mots d'une voix fébrile mais dont on pouvait extraire une certaine sagesse:

-Que désirez-vous mes seigneurs ?

Le Patriarche rugit à nouveau:

-Nous t'avons convoqué pour répondre à l'une de nos interrogations. Il existe dans les entrailles de l'histoire de notre peuple, un marteau portant le nom de Volendrung. Nous aimerions en connaître l'emplacement. Sais-tu nous répondre, Shaman ?

Bolgur déroula de sa longue bure en peau de bêtes, un parchemin. Ce vieil idiot de shaman prenait tout son temps pour dérouler le papier qu’il allait citer à l’assemblé, Burgur crispa la mâchoire et avait envie d’arracher la lettre des mains fébriles de Bolgur, de la dérouler et la lire lui-même vu la lenteur du vieux débris. Mais le temps d'attente fut plus long encore, lorsque le vieil orque entama sa lecture, faisant de temps à autres bouger ses lèvres apportant de faux espoirs aux Orques présents.

Après quelques minutes, il se remit à parler, un léger sourire masqué par ses rides nombreuses:

-Il semblerait, d'après les dîres d'Agrûl Main-Unique ayant vécu en 5E 20, que le marteau se trouverait toujours Bordeciel. Entre les mains du Royaume des Nordiques. Il serait stocké à Solitude dans l'entrepôt de la Compagnie de l'Empire Orientale. Les sources sont pertinantes et réalistes car c'est un texte officiel adressé à toutes les tribus Orques de Bordeciel.

Le Patriarche frappa du poing sur la table:

-Chiens de nordiques...Malacath les maudissent...Gôrok, il semblerait que nous savons désormais où se trouve Volendrung...maintenant et j'en ai bien peur, la seule solution reste la force brute. Néanmoins, j'aimerais qu'il n'y ait aucun témoins lors de votre intervention. Oui, je vous demande de tuer ces hommes jusqu'au dernier et de récupérer le marteau. Vous aurez accès à l'élite de nos soldats, à des armes et armures plus résistantes que celle-là, dîtes en désignant le chef de Dushnik Yal, tu es désormais l'un de mes vassaux. Tu obéiras à mes ordres et en échange, tu obtiendras un soutien inégalable pour ta tribu en Bordeciel qui fera désormais partie du Royaume d'Orsinium. Ta cité sera connue dans l'Histoire Orsimer, comme la première tribu à avoir rallier le Royaume d'Orsinium réunifié. Maintenant, je ne peux te confier une armée pour reprendre le marteau, tu pourrais tout aussi bien agir en secret et dérober le marteau sans que personne ne s'en rendent compte, mais ce n'est malheureusement pas chose facile...

Il posa une main sur l'épaule de Gôrok et entama une rapide formule officiel afin de prouver l'allégence de l'Orque au Royaume d'Orsinium:

-Gôrok Lok'Nolosh, chef de Dushnik Yal et annonceur d'un avenir meilleur pour la nation Orque. Tes paroles ont été entendues et acceptées. Tu deviendras le Champion de Malacath et rassemblera les tribus Orques en un royaume fort et puissant, qui marquera sa trace dans l'histoire de Tamriel. Je le gouvernerais et toi, tu seras l'un de mes vassaux mais aussi, un précieux conseiller sur qui je pourrais m'entretenir de temps à autres sur l'avenir de notre peuple. Les yeux des Orsimers sont désormais tournés vers toi, tu es notre espoir pour un avenir meilleur. Massacres nos ennemis et agis, en tout de domaine, pour le bien de notre peuple. Gôrok Lok'Nolosh, tu peux désormais partir, ou rester un peu pour te préparer. Libre à toi de visiter plus en détails notre belle cité. Puisses Malacath guider tes pas en tout temps...

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

L'entrepôt de l'empire Oriental...comment une tel arme béni de Malacath pouvait rester dans un entrepôt, les nordiques ne connaissent que leur légende et encore... Après les révélations du shaman,le Patriarche ordonna à Gôrok d'aller le chercher, d'une manière plus ou moins discrète, il ne pouvait attaquer l'entrepôt, il se situe trop près de Solitude, la garde serait sur place trop vite et en trop grand nombre. Gôrok pensa à une frappe éclair mené par un petit groupe, lui en tête les autres couvrant ses arrières, il lui fallait des orques habiles à l'arc, des chasseurs, les orques de Dushnikh Yal feront largement l'affaire, même si quelque soutient serait pas de refus.

"Merci Patriarche, ça sera un honneur de tuer ces hommes pour Malacath et Orsinium ! Je partirai dans la journée, il me faudrait de bons archers, même si je sais qu'ils sont rares dans notre peuple. Les orques de ma tribu m'aideront aussi, je m'occuperai de trouver des renseignement sur l'entrepôt oriental sur place, je peux me montrer très persuasif. Je vous laisse, je vais me préparer, il me faudrait aussi des vivres,un cheval et le chemin le plus sûre pour arriver en Bordeciel. Ca sera tout, je serais au dans la cours en train de me préparer si vous avez une dernière chose à me dire."

En sortant un orque demandait à voir le patriarche, Gôrok sorti et vit en bas des marches deux hommes, un de taille moyenne tout vêtu de noir et au visage caché dans l'ombre de sa capuche, seuls ses yeux rougeoyants étaient visibles. À ses côtés se tenait ce qui semblait être un nordique, plus grand, portant deux épées dont l'une semblait faite d'argent, tandis que l'autre était plus sombre? Il était vêtu d'une grande robe noir au motif étrange, ce nordique était assez lugubre, comme un mort. Il descendit les marches, passa à côté des hommes les jaugeant du regard,la carrure et la couleur peu commune de l'orque,Gôrok ne savait pas ce que faisaient ces hommes à Orsinium, mais gare à eux, les orques sont peu aimables avec les autres races. Gôrok parti se préparer pour son retour en Bordeciel.

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

Gôrok en avait finit avec les préparatif, il partit chercher les orques dont il avait besoin pour son retour. Durant ce temps le Patriarche avait discuté avec les hommes, à son retour sur la place, les hommes n'étaient plus là, le Patriarche lui était énervé d'après les gardes. L'un des gardes lui passa une lettre d'un des hommes, qui lui était destiné...étrange il l'ouvrit:

- Orque, je sais que orsimer et manmer ne font plus un depuis bien longtemps, mais j'ai vu en vous la même chose qu'en moi. J'ai vu un chef soucieux de l'avenir de ses hommes, orsimer en ce qui vous concerne. C'est pourquoi je vous adresse ce message, car une alliance est le dernier rempart contre les dangers qui viennent d'Oblivion. Si vous voulez bien me croire, alors vous pourrez me retrouver à la tour de Diamant, sur l'île Balfiera dans la baie d'Illiaque, j'y serais dans moins d'une semaine, et y resterez certainement un certain temps. Sinon, faites ce que votre coeur vous dicte de faire.

Cette homme semblait être un paladin, combattant les daedras mal-envieux, il semblait qu'une menace énorme pesait sur tous Tamriel, mais pour l'instant Gôrok avait une mission celle de construire une Orsinium digne de se nom et donner à un peuple entiers respect et reconnaissance. Tous était prêt les orques partirent sur les sentier rocailleux d'Orsinium pour rentrer en Bordeciel, ils allaient prendre un chemin plus sûre. Gôrok pensait à un plan pour trouver Volendrung à l’entrepôt de l'empire Oriental...

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

Le voyage était compliqué en raison d'une tempête qui s'abattait sur le groupe rendant leur avancé difficile. Le vent faisait plier les arbres, des torrents d'eau avait rendu les routes boueuse, le ciel gris semblait être à quelque mètre au-dessus de leur tête. Le groupe était complétement trempé , le moral était au plus bas d'autant plus que les ressources en nourritures avaient moisies. Lors d'une a calmi, les orques affamé sacrifièrent un cheval pour se remplirent le ventre, mais le calme ne dura pas longtemps, de nouveau nuage noire arrivèrent ainsi que des orages.

Ils arrivèrent dans le territoire d'Orsinium, à leur arrivé 2 guetteurs orque arrêtèrent les orques, les archers d'Orsinium se présentèrent et connaissaient les 2 orques. Les archers parlaient de leur missions et de Volendrung, les 2 gardes demandèrent à le voir, Gôrok sortit l'arme, au 1er coup d'oeil les gardes étaient époustouflé par l'arme, ils étaient comme des enfants à l'idée de savoir que le Fléau de Malacath était en possessions d'Orsinium. Le groupe continua sa route, arrivé vers les portes d'Orsinium, Gôrok était impatient de présenter Volendrung au patriarche et au peuple d'Orsinium. L'arme en leur possessions les négociations avec le reste des orques allez être plus facile, savoir qu'Orsinium était en possession de l'arme bénite par leur divinité, les orques des autres tribu allez les rejoindre plus facilement.

Les portes s'ouvrirent, Gôrok et les archers s'avancèrent dans le calme, personne ne savait pourquoi il était la encore, à la place centrale face au bâtiment du Patriarche, l'orque noire demanda à voir le Patriarche. Gôrok sorti l'arme recouvert d'une couverture pour garder le mystère, il attendait la venue du Grand Chef pour sortir l'arme tant attendu.

Le Seigneur de la Damnation Messages : 438 Date d'inscription : 03/03/2014

Fondateur incarnant: Burgur gro-Azurg
Patriarche d'Orsinium
Le renouveau des Orques. Orc%20armor

Orsnium restait paisible et prospère pour le moment. La Cité-Etat était bien protégée face aux Pestiférés qui rôdaient encore dans les montagnes. Les sentinelles Orques réussirent rapidement à localiser la position de Gôrok, l'envoyé du Patriarche, plus les minutes passaient et plus son ombre imposante se rapprochait des portes de la ville.

La sécurité avait été renforcé partout dans les montagnes, il y avait du mouvement à Hauteroche, on criait dans les rues des louanges à la Garde du Phénix, une sorte d'ordre luttant contre les Daedras et toute forme d'abominations en Tamriel...Mais, Malacath ne le voyait pas de cet oeil-là et n'appréciait guère que l'on vienne le provoquer à quelques millier de pieds du Royaume de ses enfants. Les Orques...ces êtres longuement critiqués par les autres peuples, seul l'Empire voulait encore d'eux. Surtout par intérêts, ça c'était une certitude, mais beaucoup d'Orsimers réussirent à être sauver grâce à celui-ci. Cependant, ce vieux fou qu'avait rencontré le Patriarche des semaines plus tôt n'avait pas totalement faux au sujet de Cyrodiil. Mais, JAMAIS le peuple Orsimer ne se rabaissera à aider les Brétons ou leurs alliés les Rougegardes des déserts du sud, plutôt périr dans les flammes que cela...De toute manière...Malacath les protégait. Ils ne risquaient rien. D'ailleurs, son marteau approchait à grand pas, entre les mains par son futur Champion.

Alors que l'Orque à la peau sombre pénétra dans la forteresse du Patriarche. Celui-ci lui annonça d'une voix grave et pleine de charisme:

-Gôrok, il est bon de te revoir ! Volendrung, le Fléau de Malacath. Approches-le de moi...Je ne pensais pas poser un jour les yeux sur cette merveille !

Burgur saisit l'arme que lui tendait son nouveau vassal. Il le brandit fièrement et ajouta à ce geste:

-Cet artefact ne sera pas utiliser pour faire la guerre ! Mais pour rallier les Tribus Orques entre-elles et protéger notre peuple des menaces extérieurs ! Gôrok, tu as prouvé ta force en parvenant à apporter à notre peuple ce qui lui appartenait. Tu seras dorénavant considérer comme le Champion de Malacath, en guise de symbole pour tes fonctions, je t'ai fais forger une armure spécialement pour toi. J'espère avoir choisis les bonnes mensurations pour celle-ci. Elle est plus résistance qu'une armure d'orichalque de base, elle est...à ton image.

Messages : 78 Date d'inscription : 12/04/2014 Localisation : Montpellier

La cité état était en ébullition à la vue du Patriarche brandissant Volendrung, la population entière c'était amassé pour voir le Fléau de Malacath et étonnement son Champion. L'ambiance était extraordinaire, les shamans étaient en trans ,les hommes et femmes hurlaient de bonheurs,les tambours eux aussi étaient de sortis. Tous avaient arrêté leur activité et étaient unis dans cette euphorie, le bruit était tel que les Divins devaient l'entendre . Puis au première paroles de leur Chef, seul les flammes des forges se faisait entendre:

-Cet artefact ne sera pas utiliser pour faire la guerre ! Mais pour rallier les Tribus Orques entre-elles et protéger notre peuple des menaces extérieurs ! Gôrok, tu as prouvé ta force en parvenant à apporter à notre peuple ce qui lui appartenait. Tu seras dorénavant considérer comme le Champion de Malacath, en guise de symbole pour tes fonctions, je t'ai fais forger une armure spécialement pour toi. J'espère avoir choisis les bonnes mensurations pour celle-ci. Elle est plus résistance qu'une armure d'orichalque de base, elle est...à ton image.

Gôrok était fier...fier des orques de les voir ensemble,unis,solidaire et heureux. La masse noir était content du Patriarche et heureux des compliments reçu. Au dernière parole du grand Chef, il fit signe au forgeron d'apporté l'armure, les 2 valeureux s'avancèrent, timide face à l'intimident orque noir,ils le saluèrent et lui présentèrent l'armure. Gôrok se changea devant le peuple, il commença par mettre un habit de maille trempé dans de l'ébonite en fusion, ensuite il revêtit l'armure. L'armure était incroyable, correspondant parfaitement au style de Gôrok...en métaux d'orichalque des plus travaillé et recouverte d'une couche d'ébonite pour lui donné un aspect sombre, rendant le personnage encore plus intimidant. Les bottes restaient dans le style orque bien qu'orné de motif traditionnel orque comme tous le reste de l'armure, plus haut une cuissarde associé à un tablier en fourrure d'ours maintenue par un ceinture avec une boucle en forme de crâne en métal. Il enfila ensuite un impressionnant plastron avec une représentation de la face de Malacath en relief sur le torse. Après sa il attacha les épaulières à pointes et des bracelets en fourrure autour des biceps, puis des gantelets dont un étudié exprès pour passer dans un bouclier moins travaillé comparé à l'autre ou des pointes vienne orné le gantelet au niveau des métacarpes. L'armure était quasiment complète, elle était magnifique le peuple était fasciné par l'armure et son porteur, les enfants étaient rêveur, enfin on lui tendit un casque à corne somptueux, il le mit...Le Champion de Malacath portait bien son nom désormais, l'armure le représentait à lui et son à son statue . Gôrok sentait monter en lui une émotions énorme, il ne pouvait plus retenir sa joie et hurla les mains au ciel, gonflant les muscles, faisant apparaître les veines. La folie reprit de plus tous, tous acclamé Gôrok, tous sa dura quelque heure encore.

Le héro du jour retrouva le Patriarche dans sa longère près du feux, à côté de Volendrung, pour lui parler de l'avenir:

"Bonjour Patriarche et encore merci pour tous ce que vous avez dit et pour le cadeau, l'armure est incroyable, tous le savoir faire orque. Maintenant que Volendrung est en possession d'Orsinium, que nous avons le symbole pour rallier les orques, nous devons penser à l'avenir, nous devons penser à faire durer cette empire pas comme les précédents. Pour cela il faut construire tous ! Depuis le début et à tous les niveaux, voir ce qui à échoué par le passé et s'inspirer des autres nations pour construire un Empire à notre image et digne des orques ! qui perdurera pendant des siècles et des ères entière ! Arrêtons de construire avec du bois beaucoup trop fragile,éphémère, brûlant à la moindre étincelle et construisons avec des pierres solides qui résisterons au plus grande crise et à travers le temps. Demain nous devrons rallier les orques, je pense que vous devez présenter Volendrung en personne dans tous les camps d'Orsinium pour les rallier à l'Empire. Pour moi je m'en vais pour quelque temps...des centaines d'orques vivent dans Bordeciel, étant un chef là-bas je pourrai les convaincre de nous rejoindre. A mon retour j'espère ne plus reconnaître Orsinium la cité-état mais L'Empire d'Orsinium ! Mettez beaucoup d'orque à construire de nouveaux bâtiment et ne restez pas seul, entourez vous de personnes de confiance et de toutes les classes pour trouver des solution. Au-revoir Patriarche, que Malacath vous bénisse."

Le champion de Malacath fut écouté par le Patriarche qui le laissa parler, écoutant les conseils avec attention après tous Gôrok était un chef aussi, avec moins d'importance mais son camp se portait bien. Il partit le lendemain seul à cheval, il priait fort qu'a son retour Orsinium aurait un autre visage, il comptait sur le Patriarche. Quand lui il partait pour Bordeciel, pour faire la passerelle entre les camps de Bordeciel et Orsinium...