Nom, Prénom : Andariel Cörvynn
Âge : 327 ans
Race : Dunmer/Bréton
Lieu de naissance : Collines Illessiennes (Illessan Hilles)
Orientation psychologique : Bon-Neutre
Orientation de rôle, carrière... : Assassin/Gladiateur
Signe astrologique ou Pierre gardienne : Pierre de l'Ombre
Élément de votre magie : Destruction/Illusion
Description physique : De par son ascendance Dunmer, Andariel a la peau noire, les oreilles pointues et les yeux rouge sang , éclairants d’une lueur rougeoyante des orbites d'un noir profond. Malgré cela il ressemble plus à un humain qu'à un Dunmer. Son visage est celui d'un bréton normal et même ses pommettes saillantes ou ses yeux en amandes ne permettraient pas de le distinguer d'un homme si sa peau n'était de nuit et ses yeux de feu.
Son corps, également, diffère de celui des Dunmer.
En effet, lui et son frère ont de tout temps étaient plus imposants, quoique plus petits, que leur propre père. Les épaules plus larges, le torse plus développé, les bras et les jambes plus musclés, tout en eux clame leur ascendance humaine pour qui sait regarder.
Lors de sa vie dans les arènes de Tamriel son corps fut marqué par les victoires et il en porte encore les stigmates. Ainsi, son œil droit est barré d'une cicatrice et un dragon symbolisant Akatosh lors de son combat contre Mehrunes Dagon enroule ses ailes et ses annaux autour de son corps tandis que sa gueule enserre son cœur, donnant l'impression qu'il le transperce de ses crocs.
Description psychologique : Marqué par les épreuves qu’il a rencontré au cours de sa vie, ses premiers combats pour les Orsimers, le vol des terres ancestrales de sa mère, la mort de ses parents et plus tard ses siècles de combats, il a développé une profonde colère à l’égard du monde ainsi qu’un profond respect pour les gens de sa sorte, que ce soit ses frères d’armes ou ses compagnons d’infortune. Il éprouve également un besoin pathologique de se raccrocher à une Quête ou de suivre quelqu’un comme il l’a fait lors de son évasion et plus tard lors de sa rencontre avec son mentor. Il a également finit par se renfermer sur lui-même et ne permet à rien ni personne de l’atteindre en profondeur, si l’on excepte ceux et ce qu’il a décidé de suivre.
Il serait possible de le définir comme un sociopathe à tendances destructrices et idolâtriques.
Histoire, passé : Le père d’Andariel Cörvynn naquit en 4E033 dans une famille de dignitaire Dunmer. Cadet de sa fratrie, il prit les armes et se forma aux techniques de sa race.
Auprès des plus grands maitres de son époque, il apprit à manier les épées à une main, les dagues ainsi que l’usage de poisons et de divers sorts de l’école d’illusion et de destruction. Il parcourut alors Tamriel pour le compte de sa famille, si bien qu’il finit par devenir ambassadeur. Il eut même la chance de rencontrer le Dovahkiin grâce à une de ses cousines alors thane de Baalgruf.
Lors de ses 300 ans, il rencontra une brétonne d’une vingtaine d’années. C’était la fille unique du dirigeant des collines Hillessiennes, mais il tomba éperdument amoureux de cette jeune Manmer. Il l’épousa et plus tard, après la mort de son beau-père, il hérita de la direction de cette ville, s’attirant ainsi la désapprobation de nombre des importantes personnalités Brétonnes de l’époque.
Malgré tout, il assura la direction de son domaine contre vents et marées durant cinquante années aux côtés de sa femme. Celle-ci resta jeune grâce au sang Aldmer qui coulait dans ses veines.
En 5E 327, celle-ci donna naissance à deux fils.
C’est ainsi naquit Andariel trois minutes après son frère ainé. Leur père fit sonner les cloches et déclara une période de réjouissance pour célébrer la naissance de sa progéniture et la réunion définitive des dynasties entre Ventdemain et Haute-Roche.
Afin qu’ils puissent le remplacer plus tard, il leur apprit tout ce qu’il savait. Ainsi, Andariel et son frère furent formés au métier des armes, comme leur père auparavant, ils apprirent à maîtriser la magie de l’Illusion et de la Destruction et à manier l’épée, la dague et le poison. Mais il leur apprit également ce qu’il savait de la diplomatie et du gouvernement, deux choses auxquels Andariel fut particulièrement peu réceptif, contrairement à son frère ainé.
C’est ainsi qu’Andariel vécut durant les cinquante premières années de sa vie. Un jour, leur père décida de les envoyer en Orsinium pour qu’ils y rencontrent un seigneur Orsimer afin qu’ils le représentent et obtiennent les traités dont ils avaient besoins. Hélas, leur destin jusque-là souriant, les avaient trahis et ils furent capturés en chemin par une tribu d’orques hostiles aux brétons et désireux de fournir des adversaires à leurs enfants. Pendant trois ans ils combattirent dans une arène d’entrainement orsimer tandis que leur mère s’adonnait au désespoir et que leur père se plongé dans l’administration de sa ville et se coupait du monde réel afin d’oublier sa peine.
La mère d’Andariel se suicida le jour même où lui et son frère étaient libérés du joug de l’arène par respect pour leur talents et leur appartenance au Peuple.
Lorsqu’il la découvrit étendue sans vie sur le sol, le père d’Andariel en perdit la raison, il s’enferma dans la plus haute tour du château, et n’en sortit que rarement.
Une fois rentrés, Andariel et son frère découvrirent leur Maison accablé par la tristesse de les avoirs perdus eux et leur mère, une nouvelle qu’ils ne purent supporter qu’avec beaucoup de difficultés.
Mais le destin s’acharnait sur les Cörvynn, car à peine quelques années plus tard, alors qu’Andariel et son frère partaient en Ventdemain afin d’y retrouver leur racines, ils furent dupés.
Alors que le convoi qui les accueillaient étaient supposés les emmener à Sombrejour, ils furent emmenés dans une citée Dwemers aménagé afin de satisfaire la soif de sang de spectateur cruels. En effet, alors qu’ils avaient échappés à l’arène, celle-ci les avaient rappelés à elle et les avaient condamnés à une vie de combat en tant que gladiateurs.
Profitant de l’enseignement de leur père, ils développèrent un style de combat unique basé sur le lien spirituel entre les jumeaux. Leur compréhension l’un de l’autre était telle qu’ils pouvaient anticiper leur moindre réactions et jusqu’au plus infime danger qui pesait sur l’autre. Ainsi, ils formaient un duo exceptionnel et en complète symbiose à même de venir à bout de tous leurs adversaires : ils formaient un seul combattant à la force supérieur à la somme des deux parties.
Alors que leurs victoires s’enchainaient, leur noms devinrent célèbres dans les arènes clandestines de Tamriel, et ils devinrent des gladiateurs très recherchés pour le spectacle qu’ils pouvaient offrir. Les spectateurs des combats parlaient d’un géant de ténèbres écrasant ses ennemis d’une seule main, d’une nuée ardente qui ravageait tout dans son passage, d’un serpent noir qui de son venin, terrassait les combattants de l’arène sans avoir à les toucher.
Ainsi, ils passèrent de mains en mains jusqu’au jour où les Fils de la Cendre furent séparés et qu’Andariel n’eut plus de nouvelles de son fère, en dehors de ce que les geôliers daignaient à lui raconter.
À partir de cet instant, la haine d’Andariel pour ceux qui le détenaient ne connut plus de limite. Durant des décennies, il attendit son heure, et elle vint lors de sa 327 années. Il combattait depuis trois ans dans l’arène du domaine de Cheydinhal, dans Cyrodiil, lorsqu’il réussit par ses prouesses martiales, ainsi que par la peur et le respect qu’il suscitait parmis ses pairs, à fédérer les Gladiateurs et à les mener au combat contre les esclavagistes.
Les combats furent sans pitiés, les plus féroces qu’ait connus cette arène depuis sa construction. Durant des heures ils combattirent dans les couloirs et les grottes, transperçant leurs geôliers de leurs sabres, leur écrasant la tête à coups de marteaux et de masses. Tout résonnait des âpres combats que menaient les gladiateurs pour se libérer du joug des esclavagistes. Puis le fracas des armes s'arrêta, les gladiateurs avaient vaincu et avaient regagnés leur liberté... au prix de leur vie.
En effet, la majeure partie des hommes et femmes fédérés par Andariel avaient péris dans leur lutte pour la liberté.
C'est ainsi qu'Andariel et ses compagnons brisèrent leurs chaînes et regagnèrent la surface. Là, ils se séparèrent et décidèrent de regagner leurs familles, mais pas avant de s'être juré de payer un jour leur dette à Andariel.
Voila la fiche de mon pseudo-personnage, futur compagnon de Gaëlyr et remplaçant lorsque mes aimables compagnons de JDR mettent du temps à poster (comme moi en ce moment ^^), je le soumet à l'appréciation des modérateurs et administrateur de ce forum et tiens à préciser que s'il est accepté je le mettrais en dissimulé dans ma fiche de personnage principale (cf Gaëlyr).
Au fait Erdith, je suis prêt à jouer.